• A la recherche de la vie extraterrestre

    Mars aurait autrefois présenté des conditions favorables à la vie. Peut-on pour autant penser que nous ne sommes pas seuls ? A lire sur Sciences et Avenir.

     
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    ALIEN. Fébrilement, nous guettons les moindres faits et gestes de Curiosity. Nous n’osons pas trop y croire pourtant, à chaque fois que le rover soulève un caillou, on ne peut s’empêcher de sentir monter en nous un seul espoir…

    Et si jamais il découvrait de la vie…

    On ne demande pas grand chose. Pas forcément un petit homme vert ou un alien baveux. Imaginez simplement que le robot mette le grappin sur un fossile d’un truc ressemblant à un petit crustacé… Notre perception de l’Univers et de notre place dans celui-ci en serait à jamais modifiée.

    Et pas besoin pour cela d’une créature aussi développée qu’un crustacé. On se contenterait très bien d’un fossile de bactérie. Allez ! Rien qu’une petite molécule organique témoignant d’une vie même passée ! Rien que ça suffirait à bouleverser notre perception du monde.

    Mais peut-on y croire ?

    Nous avons rencontré Michel Viso, exobiologiste au CNES, et l’avons soumis à une batterie de questions existentielles.


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  • ISS : un astronaute a failli se noyer dans l’espace

    L’astronaute italien Luca Parmitano a récemment eu une grosse frayeur lors d’une sortie de la Station spatiale internationale (ISS): le casque de sa combinaison se remplissait d’eau. Plus de détails sur cette mésaventure.

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    Une sortie dans l’espace qui aurait pu mal tourner. Le 16 août dernier, l’italien Luca Parmitano a effectué une sortie de la Station spatiale internationale (ISS). Un exercice comme un autre pour cet astronaute aguerri mais qui a pourtant failli tourner au drame. Alors qu’il se trouvait dans l’espace, il a en effet ressenti une étrange sensation au niveau de la nuque. Après quelques secondes d’hésitation, l’astronaute de 36 ans s’est finalement aperçu que de l’eau se trouvait dans le casque de sa combinaison. "La sensation inattendue d'avoir de l'eau sur la nuque me surprend et je suis dans un endroit où je préfèrerais n'avoir aucune surprise", a ainsi raconté Luca Parmitano sur son blog avant de confier avoir eu "la partie supérieure du casque pleine d’eau".

    Toutes les sorties dans l’espace suspendues pour le moment
    Heureusement pour lui, l’astronaute a pu écourter sa sortie et regagner l’ISS sans encombre. Une fois à bord de la Station, l’Italien a pu souffler et reprendre ses esprits tandis que de leur côté les experts de la Nasa se sont attelés à comprendre comment de l’eau a pu se retrouver dans son casque. Selon les premiers éléments recueillis, le liquide aurait pu provenir d’une fuite dans le système de refroidissement de la combinaison portée par Luca Parmitano. Mais alors que rien n’est encore certain, toutes les sorties dans l’espace ont été suspendues par mesure de précaution
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  • Un Ovni filmé par un astronaute de la NASA ?

    Un astronaute américain, Chris Cassidy, a filmé un Objet volant non identifié à l'extérieur de la Station spatiale internationale.

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    Lors d’une sortie dans l’espace, Chris Cassidy, un astronaute américain, a observé un Objet volant non identifié (Ovni) de forme ronde et de couleur orange. Un mystérieux objet flottant autour de la station orbitale. Une mandarine ? Plus sérieusement, l’astronaute, perplexe, a contacté les contrôleurs de la NASA de la base de Houston par radio. Mais il a surtout pensé à filmer ce qu’il avait sous les yeux.

    Un objet appartenant à la section russe de la station

    L’objet flottait au-dessus de la Station spatiale à un peu plus de 350 kilomètres de la Terre. Il s’agirait en fait de la couverture d’une antenne de la Station spatiale internationale, faisant partie de la section russe de la station. Et non pas d’un vaisseau spatial rempli d’extraterrestres. D’ailleurs, les Russes ont rapidement rassuré tout le monde en reconnaissant immédiatement une housse provenant de leur module de service Zvezda. Et vous, qu’en pensez-vous ?


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  • Espagne : un monstre des mers découvert échoué sur la plage

    Une baigneuse a découvert un drôle d’animal échoué sur le sable d’une plage d’Almeria, en Espagne. Ce « monstre » des mers, non identifié, avait des allures de monstre du Loch Ness.

     

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    Mais quelle est donc cette créature découverte ce jeudi 15 août sur une plage espagnole près d’Almeria, en Andalousie ? C’est une baigneuse qui a découvert ce drôle d’animal de quatre mètres de long, échoué sur le sable, alors qu’elle se trouvait sur la plage de Luis Siret. L’animal, qui était dans un état avancé de décomposition, n’a pas pu être identifié, mais a suscité de nombreux commentaires. Ce « monstre » marin aux allures de dragon aquatique, pourrait facilement passer pour le petit frère de Nessie, le célèbre monstre du Loch Ness.

    Le mystère reste entier

    Poisson géant ou espèce mutante, le mystère reste cependant entier. Cette créature des mers n’a pas pu être identifiée. L’Association de défense de la faune marine a examiné les clichés pris de l’animal, et pour elle, il ne s’agirait que d’un gros poisson. La bête a néanmoins été enterrée rapidement par les autorités espagnoles pour limiter les risques sanitaires. Les recherches sur l’identité et l’origine de la créature ont été donc limitées. Les rumeurs, elles, vont toujours bon train


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  • Découverte d’une planète qui fait le tour de son étoile en 8h30

    Le télescope spatial Kepler vient de découvrir une nouvelle planète. Une planète si proche de son étoile qu’elle en fait le tour en seulement huit heures et demie. Explications.

     

    Scrutant l’univers depuis 2009, le télescope spatial Kepler n’en finit plus de combler les astronomes. Dans une étude publiée le 16 août par The Astrophysical Journal, une équipe américano-danoise vient d’annoncer avoir pratiqué une nouvelle analyse des données de Kepler dans un but bien précis : celui de mettre la main sur des exoplanètes à révolution ultra-courte, c’est-à-dire des astres qui font le tour de leur étoile en moins d’une journée (selon nos jours terrestres), voire en moins d’une demi-journée.

    Une année en 8h30

    Ainsi, après avoir passé en revue les quelques 150 000 étoiles surveillées par Kepler, l’équipe américano-danoise s’est retrouvée avec une vingtaine de candidates. Parmi elles, une planète si proche de son étoile qu’elle en fait le tour en 8 heures et demie. Une année sur cette planète dure donc 8h30, contre 365 jours pour la Terre et 88 jours pour Mercure, la planète de notre système solaire la plus proche du Soleil.

    "Nous ne survivrions pas là-bas"

    Baptisée Kepler-78b, cette planète n’est pas habitable et possède un sol recouvert par un océan de lave. Comme le résume Joshua Winn, astrophysicien au MIT et co-auteur de l'étude, "il faut vraiment tirer sur son imagination pour envisager une vie dans un monde de lave. En tout cas, nous ne survivrions pas là-bas". De plus, la température qui règne à sa surface est comprise entre 2 000 et 2 800 degrés. Autrement dit, il ne vaut mieux pas mettre les pieds sur cette planète.


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