• Espace : découverte d’un astéroïde

    riche en eau

    Les restes d’un astéroïde riche en eau ont été découverts dans un autre système stellaire. Une preuve pour les scientifiques que des planètes habitables existent ou ont existé dans notre système solaire.

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    La vie pourrait-elle être possible sur d’autres planètes ? La réponse est oui pour les scientifiques qui viennent de découvrir les restes d’un astéroïde riche en eau dans un autre système stellaire. C’est la première fois qu’un corps rocheux et de l’eau, les deux éléments indispensables pour qu’une planète soit habitable, sont réunis dans un autre système stellaire.

    Un astéroïde composé de 26% d'eau

    Selon l’étude publiée jeudi dans la revue américaine Sciences, ces restes sont ceux d’un astéroïde qui mesurait au moins 90 km de diamètre, gravitant autour d’une étoile mourante, à quelque 170 années-lumière de la Terre (une année lumière équivaut à 9 460 milliards de km).

    Cet astéroïde aurait été composé de 26% d’eau, une proportion importante. En comparaison, la Terre possède seulement 0,02% d’eau. Dans ces débris d’astéroïde, les astrophysiciens ont également découvert du magnésium, du fer et de l’oxygène, les ingrédients clés des roches.

    Des planètes habitables existeraient dans un autre système stellaire

    "A ce stade de son existence tout ce qui reste de ce corps rocheux n'est que poussière et débris autour de son étoile mourante", commente le professeur Boris Gänsicke, du département de Physique de l'Université de Warwick, au Royaume-Uni, un des principaux co-auteurs de l'étude. "Mais ce cimetière planétaire est une riche source d'informations", souligne-t-il. "Ces restes contiennent des indices chimiques révélant l'existence de cet ancien astéroïde rocheux riche en eau".

    Jay Farihi, un astrophysicien à l'Institut d'Astronomie de Cambridge, le principal auteur de cette découverte, révèle que "le fait de trouver autant d'eau dans un tel corps céleste de grande taille signifie que les matériaux formant les planètes habitables, et de telles planètes elles-mêmes, ont existé ou existent encore dans le système stellaire GD 61, et probablement dans de nombreux autres systèmes similaires".

    Dans sa vie antérieure, GD 61 était une étoile un peu plus grosse que notre Soleil. Celui-ci subira le même sort dans plusieurs milliards d'années.


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  • Espace : un satellite va bientôt s'écraser

    sur Terre

    Le satellite GOCE, lancé dans l’espace en 2009 pour mesurer la gravité de notre planète, achèvera bientôt son parcours. Il menace, dans les jours à venir, de s’échouer sur Terre.

     

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    Bientôt en panne sèche, le satellite GOCE, en orbite depuis 2009, tombera bientôt sur la notre planète. Le lieu et la date de sa chute ne sont pas encore connus.

    L’Agence spatiale européenne (ESA) a annoncé, vendredi dernier, la menace de la chute du satellite GOCE, lancé en 2009. Le réservoir du satellite, d’une capacité de 41 kg, ne contiendrait aujourd’hui plus que 350 grammes de xénon, un gaz rare. Cela signifie que son moteur va bientôt arrêter de tourner. Le satellite achèvera donc, prochainement, sa trajectoire dans l’espace pour tomber sur Terre.

    "À partir du moment où le réservoir sera vide, cela peut prendre en gros deux ou trois semaines", a indiqué Christoph Steiger, chef des opérations de GOCE.
    La date de la chute du satellite n’est pas encore connue, tout comme son lieu. "Impossible aujourd’hui de prévoir sur quel point de la Terre GOCE, ou plutôt ce qu’il en restera, va atterrir", a précisé Christoph Steiger.

    Un risque "très faible"

    "Le moteur fonctionne toujours, mais cela signifie que nous sommes très près de la fin", a-t-il ajouté. Le moteur du satellite peut s’arrêter à tout moment. La date est toutefois estimée au 26 octobre.

    La "trace au sol" du satellite ne pourra, quant à elle, être déterminée seulement quelques heures avant sa chute. Le risque pour les Terriens est jugé "très faible" par les experts. Cependant ces derniers affirment que le risque n’est pas tout à fait nul. "Le risque d’être touché par un débris d’engin spatial est 65 000 fois plus faible que celui d’être touché par la foudre", affirme Christoph Steiger. "Des objets de la masse de GOCE, il en retombe un par semaine en moyenne", précise Fernand Alby, le responsable des activités débris spatiaux et surveillance de l'espace de l'agence spatiale française (Cnes).

    Un satellite à seulement 260 km d'altitude

    Ce satellite de 5,3 mètres de long voyage dans l’espace à seulement 260 km d’altitude. Il a été mis en place pour cartographier le champ de gravité terrestre ainsi que de fournir aux scientifiques des données cruciales afin d’étudier l’évolution du climat ou des séismes sur la Terre. GOCE a permis notamment de créer la première carte mondiale à haute résolution de la frontière entre la croûte et le manteau de la Terre, le Moho. Il a également détecté des ondes du séisme qui a frappé le Japon le 11 mars 2011.

    Ceux qui se trouveront à proximité du lieu de la future chute du satellite pourront observer "un phénomène lumineux assez important" dans le ciel, un peu comme pour une météorite.


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  • Espace : les restes d’une comète vieille

    de 28 millions d’années ont été

    retrouvés

    Des restes d’une comète, tombée sur la Terre il y a 28 millions d’années, ont été retrouvés en Egypte. C’est une première, les scientifiques parlent d’une révolution.

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    Il y a 28 millions d’années, une comète a explosé au-dessus de l’Egypte en entrant dans l’atmosphère, détruisant ainsi toute forme de vie aux alentours. La force de cette explotion a chauffé le sable du Sahara à 2 000°c, le transformant en verre de silice jaune.

    Un noyau de comète

    Ce caillou de 30 grammes a été découvert en 1996 par un géologue égyptien. Il se trouvait à l’intérieur d’un morceau de verre de silice. Les chercheurs sud-africains de l’université de Witwatersrand (Wits) parlent d’un "premier exemplaire connu d’un noyau de comète, et pas simplement un type inhabituel de météorite". "Les comètes visitent toujours nos cieux, ce sont des boules de neige sale de glace mélangée à de la poussière, mais jamais auparavant dans l’histoire de la matière une comète n’avait été trouvée sur terre", explique le Professeur David Block.

    Le reste de cette comète avait une "composante extraterrestre" selon les chercheurs. "Si on la compare avec des météorites, qui contiennent seulement 3% de carbone, cette chose contient 65% de carbone", ajoutent-ils.

    Un précieux matériau qui n'a pas coûté cher

    Le Professeur Kramers s’est permis d’ironiser sur cette découverte en disant : "La NASA et l'ESA ont dépensé des milliards de dollars pour récolter quelques milligrammes de matériau de comète et les ramener sur terre, et maintenant, nous avons une approche nouvelle (...) pour étudier ce matériau sans dépenser des milliards de dollars pour aller le chercher".

    Ce verre de silice jaune constitue la pièce centrale d’une broche du pharaon Toutankhamon qui représente un scarabée, ont affirmé les chercheurs.


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          Planètes errantes : des astres sans étoile

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    La population des Jupiters-flottants continue d'intriguer les astronomes. Ces grosses planètes se baladent seules, sans être en orbite autour d'une étoile.

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    Illustration d'un corps de la masse de Jupiter flottant dans la galaxie. (Nasa)

    Illustration d'un corps de la masse de Jupiter flottant dans la galaxie. (Nasa)

    "LOST IN SPACE". Ranger les astres de la galaxie est une affaire complexe. La faute, notamment, à cette population de planètes flottant librement hors de l’influence de toute étoile, découverte voici quelques années par deux équipes internationales d’astronomes. Il s’agit de corps de la taille de Jupiter, en moyenne, situés entre 10.000 et 20.000 années lumière de la Terre, qui n’appartiendraient à aucun système stellaire. Ces solitaires seraient en orbite autour du centre de notre galaxie plutôt qu’autour d’une étoile.

    Naines brunes ou planètes ?

    Les premiers astres isolés à avoir été identifiés étaient des naines brunes, dont la formation est comparable à celle des étoiles mais qui ne parviennent pas à s’allumer, faute d’une taille suffisante. On a un temps pensé que les Jupiters-flottants pouvaient appartenir à cette catégorie. Cependant le nombre important de ces vagabonds suggère une autre origine. Dans une publication de 2011 de la revue Nature, l'équipe du Japonais Takahiro Sumi estimaient qu'il pouvait s’agir de planètes éjectées de leur système stellaire en formation.

    MICROLENTILLES. Ces planètes errantes ont été découvertes grâce à la technique de microlentille gravitationnelle, un effet loupe provoqué par le passage d’un astre sur le trajet de la lumière émise par une étoile située dans l’arrière plan. Cela provoque un pic de luminosité de cette étoile dont la durée et l’intensité sont liées à la taille de l’astre qui fait loupe. 50 millions d’étoiles de la Voie lactée ont ainsi été surveillées pendant deux ans dans le cadre du projet MOA (Microlensing Observations in Astrophysics, collaboration entre le Japon et la Nouvelle-Zélande).

    Les résultats obtenus ont ensuite été comparés à ceux qu’un autre projet, OGLE (Optical Gravitational Lensing Experiment, Université de Varsovie), a glané de son côté. Cela a permis d’écarter les données parasites, le bruit de fond, et de confirmer que les événements enregistrés par les lentilles gravitationnelles correspondaient bien à la présence d’astres.

    Vraiment libres ?

    "FREE LIKE THE WIND". Les Jupiter-flottants sont-ils vraiment libres de tout attachement gravitationnel ? Les chercheurs expliquent que, d’après leurs données, ces astres seraient éloignés de leur étoile d’une distance équivalente à 10 unités astronomiques (10 fois la distance Terre-Soleil). Cela ne coïncide pas avec ce que l’on sait - grâce à l’épais catalogue d’exoplanètes - des distances séparant ces planètes géantes de leur étoile. Les astronomes penchent donc pour l’hypothèse d’astres solitaires.

    Les moyens utilisés n'ont pas encore permis de détecter des objets plus petits que Jupiter. Cependant les astronomes supposent que des planètes de la taille de la Terre sont éjectées de leur système. Les planètes flottantes seraient donc très nombreuses.      


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  • ISS : un astronaute a failli se noyer dans l’espace

    L’astronaute italien Luca Parmitano a récemment eu une grosse frayeur lors d’une sortie de la Station spatiale internationale (ISS): le casque de sa combinaison se remplissait d’eau. Plus de détails sur cette mésaventure.

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    Une sortie dans l’espace qui aurait pu mal tourner. Le 16 août dernier, l’italien Luca Parmitano a effectué une sortie de la Station spatiale internationale (ISS). Un exercice comme un autre pour cet astronaute aguerri mais qui a pourtant failli tourner au drame. Alors qu’il se trouvait dans l’espace, il a en effet ressenti une étrange sensation au niveau de la nuque. Après quelques secondes d’hésitation, l’astronaute de 36 ans s’est finalement aperçu que de l’eau se trouvait dans le casque de sa combinaison. "La sensation inattendue d'avoir de l'eau sur la nuque me surprend et je suis dans un endroit où je préfèrerais n'avoir aucune surprise", a ainsi raconté Luca Parmitano sur son blog avant de confier avoir eu "la partie supérieure du casque pleine d’eau".

    Toutes les sorties dans l’espace suspendues pour le moment
    Heureusement pour lui, l’astronaute a pu écourter sa sortie et regagner l’ISS sans encombre. Une fois à bord de la Station, l’Italien a pu souffler et reprendre ses esprits tandis que de leur côté les experts de la Nasa se sont attelés à comprendre comment de l’eau a pu se retrouver dans son casque. Selon les premiers éléments recueillis, le liquide aurait pu provenir d’une fuite dans le système de refroidissement de la combinaison portée par Luca Parmitano. Mais alors que rien n’est encore certain, toutes les sorties dans l’espace ont été suspendues par mesure de précaution
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  • Un Ovni filmé par un astronaute de la NASA ?

    Un astronaute américain, Chris Cassidy, a filmé un Objet volant non identifié à l'extérieur de la Station spatiale internationale.

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    Lors d’une sortie dans l’espace, Chris Cassidy, un astronaute américain, a observé un Objet volant non identifié (Ovni) de forme ronde et de couleur orange. Un mystérieux objet flottant autour de la station orbitale. Une mandarine ? Plus sérieusement, l’astronaute, perplexe, a contacté les contrôleurs de la NASA de la base de Houston par radio. Mais il a surtout pensé à filmer ce qu’il avait sous les yeux.

    Un objet appartenant à la section russe de la station

    L’objet flottait au-dessus de la Station spatiale à un peu plus de 350 kilomètres de la Terre. Il s’agirait en fait de la couverture d’une antenne de la Station spatiale internationale, faisant partie de la section russe de la station. Et non pas d’un vaisseau spatial rempli d’extraterrestres. D’ailleurs, les Russes ont rapidement rassuré tout le monde en reconnaissant immédiatement une housse provenant de leur module de service Zvezda. Et vous, qu’en pensez-vous ?


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  • Photos : deux ovnis aperçus en Grande-Bretagne ?

    Vendredi 14 juin à Bracknell au Royaume-Uni, deux objets volants non identifiés lumineux ont été aperçus - et photographiés - par Steve Lambert, témoin sur place. Explications.

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    Le temps d’observation aura été court, mais le Britannique Steve Lambert, âgé de 42 ans, a eu le temps de dégainer son smartphone afin d’immortaliser le moment. En effet, alors qu’il sortait d’un pub pour téléphoner, deux points lumineux dans le ciel ont retenus son attention. "Les ovnis se dirigeaient très rapidement vers le sud-ouest en direction de Basingstoke. Les engins étaient plus rapides que n’importe quel avion normal" a-t-il délcaré.

    L’homme a ensuite publié sa photo sur Facebook et lancé un appel à témoin pour corroborer ces évènements de la nuit. Très vite, le spécialiste des ovnis Nick Pope, qui a travaillé pour le ministère de la Défense du pays, a expliqué dans le Telegraph que ce cliché est l’un des meilleurs jamais capturé d’objets volant non identifiés.

    Le mystère reste entier
    La scène a duré "moins de cinq secondes". Et bien que Steve Lambert, habitué à prendre des photos de tout ce qui lui semble sortir de l’ordinaire, ait eu le réflexe de capturer la scène, le doute plane tout de même. En effet, réussir à photographier un tel phénomène en seulement cinq secondes peut laisser dubitatif.

    De plus, l’homme affirmait déjà avoir vu un objet lumineux de couleur orange, jaune et rouge briller dans le ciel à Bracknell en février dernier. Certains y croiront donc dur comme fer, pensant de plus belle que nous ne sommes pas seuls dans l’univers, quand d’autres y verrons une simple tromperie. C’est le cas du site ovnis-direct.com, pour qui c’est un "FAKE" (un canular). "Le témoin s’est juste servi de la réflexion de deux spots sur la vitre pour nous tromper" peut-on lire. 

     


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  • Le passage d’une comète fonçant à 77 000 km/h capturé par Hubble

    La comète ISON se précipite vers le soleil à plus de 77 000 km/h. Son mouvement est filmé dans un time-lapse, par le télescope spatial Hubble de la NASA. Au moment où les images ont été prises, la comète était à plus de 600 millions de kilomètres de la Terre, entre les orbites de Mars et Jupiter.

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    Le film qui ne dure que quelques secondes a été réalisé à partir d’une séquence d’images de 43 minutes prises le 8 mai 2013 par le téléscope Hubble. On y voit la comète et sa traînée lumineuse composée de gaz et de poussière qui s’étend sur des centaines de milliers de kilomètres. Son noyau est désormais auréolé d’une chevelure blême, composée de glace et de poussières qui va s'accroître, le tout sur un fond d’espace bleu noir constellé d’étoiles. Même si elle parait calme sur la vidéo, la comète se déplace pourtant à près de 77 000 km/h.

    La comète ISON, acronyme de International Scientific Optical Network, a été découverte en septembre 2012 par les astronomes russes Vitali Nevski et Artyom Novichonok, et avait déjà été filmée par la sonde américaine Deep impact.

    La comète sera suffisamment brillante cet été pour être observée par des astronomes amateurs. Elle passera à proximité de la surface du soleil et devrait être visible à l’œil nu, si le temps le permet, dans l’hémisphère nord le 23 novembre. Durant quelques minutes, chauffée à plus de 2000° degrés elle risque de se désintégrer ou pourrait devenir la "grande comète de 2013". 

     


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  • Photos : à l'intérieur des météorites

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Photos : à l'intérieur des météorites

    Non, les météorites ne sont pas que des cailloux ternes tombés du ciel... En les ouvrant, on découvre d'incroyables couleurs éclatantes et des formes étonnantes. Planet.fr vous invite dans ce voyage envoûtant à travers un microscope.

    Photos : à l'intérieur des météorites

     

    A l'aide d'un microscope, Jeff Barton, photographe-astronome, a pu capter l'intérieur de météorites ouvertes avec une scie et une lame de diamants. Résultat : des photos époustouflantes de couleurs et de beauté que Planet.fr vous propose de découvrir en images.


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  • Les Nuits des étoiles : c'est quoi une étoile filante ?

    Etoiles filantes, météorites, astéroïdes... quelles différences ? Les réponses de l'association Andromède. A lire sur Sciences et Avenir.

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    A l’occasion de la 23ème  des Nuits des étoiles, Laurent Ferrero, médiateur scientifique à l'Observatoire de Marseille répond aux questions de Sciences et Avenir. Pour nos lecteurs marseillais,  L'Association Andromède propose une soirée d’observation du ciel le vendredi 9 août entre 21h00 et minuit.

    Sciences et Avenir : Qu’est-ce que c’est une étoile filante ?

    Laurent Ferrero : C'est une poussière microscopique du système solaire qui se consume en traversant l'atmosphère de la Terre à grande vitesse.

    A quelle vitesse vont les étoiles filantes ?

    Généralement à plus de 30000 km/h, c'est pour cette raison que le frottement avec les couches atmosphérique est intense et parvient souvent à les consumer entièrement.

    Pourquoi en voit-on plus à certaines périodes de l'année ?

    Chaque année, sur son orbite autour du Soleil, la Terre croise à certaines dates des nuages de poussières libérés par des comètes. Dans la nuit du 12 au 13 août la Terre pénètre dans le sillon poussiéreux que la comète Swift-Tuttle a laissé derrière elle lors de ses différents passages répétés auprès du Soleil. Dans la nuit du 17 au 18 novembre nous traversons la trajectoire poussiéreuse d'une autre comète (Tempel-Tuttle) et nous avons donc également droit à cette date à une autre pluie d'étoiles filantes.

    Quelle différence entre "Astéroïde" et "Météorite" ?

    Les astéroïdes proviennent de la ceinture d'Astéroïdes qui gravite entre Mars et Jupiter. Un météorite est un astéroïde qui, à cause des perturbations...


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  • Un OVNI au Japon ?

    Une vidéo montrant un soi-disant "OVNI" au Japon a été supprimée sur Youtube. De quoi alimenter encore un peu plus la polémique sur cette étrange apparation lumineuse.

    © AFP (photo d'illustration)

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    Le Japon aurait-il quelque chose à cacher ? Des images d’une vidéo montrant un OVNI font polémique au Pays du Soleil levant. Une vidéo mystérieusement supprimée de YouTube. Ou du moins, ce sont les paramètres d’affichage qui ont été changés de "public" à "privé", sans explications. Sur les images, il semblerait qu’une étrange apparation lumineuse, susceptible d’être un OVNI, ait volé à proximité d’un avion au-dessus de la préfecture de Chiba, au Japon.

    Un vaisseau extraterrestre ?

    Si aucune date n’a pu être précisée, il semblerait que c’est à la fin du mois de juillet, au moment où toutes les spéculations ont débuté, que cet enregistrement, par le biais d’un téléphone mobile, a été réalisé. Selon certains internautes, ces lumières pourraient appartenir à une sorte de vaisseau extraterrestre circulaire avec plein de spots lumineux autour. "Ce mystérieux OVNI est trop éloigné pour pouvoir commencer tout débat. Toutefois, lorsque la personne filmant cette scène effectue un zoom, la vidéo commence vraiment à être intrigante… l’objet semble circulaire avec de fortes lumières tout autour" est-il écrit sur le site


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    Dévier les météorites qui foncent sur Terre ? L’UE s’y prépare

     

     

    Simulation par la Nasa de l'astéroïde 2012 DA14 qui va frôler la terre le 15 février 2013

    Simulation par la Nasa de l'astéroïde 2012 DA14 qui va frôler la terre le 15 février 2013 (AP/SIPA)

     

    ESPACE. La Terre va être frôlée par un astéroïde d’environ 45 mètres de diamètre. Un objet céleste d’une taille imposante mais qui restera loin de notre atmosphère et ne représente aucun danger.

     

    Toutefois, le risque de voir une météorite tomber sur la surface de la Terre est réel et la communauté scientifique se prépare déjà à intervenir. L’Union européenne finance un projet qui mêle laboratoires, universités et industriels (dont Astrium) pour trouver des concepts réalisables afin de parer à l’arrivée impromptue d’un aérolithe. C’est le projet NEO-Shield.

     

    Repérer, étudier et se préparer à l'arrivée de l'astéroïde

     

    Repérer les astéroïdes est devenu relativement simple pour la communauté scientifique. Ce sont des objets lumineux qui apparaissent dans le fond étoilé du ciel ...


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    Depuis quelques semaines, le Nouveau-Mexique s'agite...

    Il semblerait que les caméras de Google Street View aient capturé l'image d'un OVNI dans cette région des Etats-Unis ? Planet.fr vous fait  découvrir ces images choc

    Quelle est cette étrange apparition sur les écrans de Google Street View ? En capturant les images du Nouveau-Mexique, Google a vu une bien étrange forme dans le ciel. Cette apparition, semblable à un nuage en forme de soucoupe volante, n'a pas manqué d'attirer l'attention des curieux, et même, des médias locaux.

    Si certains pensent que Google Street View a capturé l'image d'une soucoupe volante, d'autres penchent pour un reflex de l'objectif.


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  • Photo : une incroyable nuée d'étoiles colorées photographiées par Hubble

    Le 19/03/2012 -

    Réagissez !

     

    Détectée en 1764 mais jamais observée jusqu'alors, cette concentration d'étoiles (Messier 9) a enfin pu être photographiée par le téléscope Hubble.

    Résultat : une incroyable photo dans laquelle les étoiles scintillent comme des diamants. Plus de détails avec Planet.fr.

     

    Publicité

     

    En 1764, Charles Messier avait déjà pu observer cet amas globulaire installé au bord de notre galaxie, près de la Voie Lactée. Mais on n'avait encore jamais pu la photographier et l'étudier de près... C'est désormais chose faite !

    La NASA vient de publier l'une des dernière photo prise par le téléscope Hubble, présentant l'amas globulaire M9 (Messier 9, du nom de Charles Messier), semblable à une constellation géante de diamants.

    250 000 étoiles
    Ce type d'amas globulaire est constitué de nombreuses étoiles âgées, regroupées dans un espace "resteint" (à l'échelle de l'Univers). Selon les astronomes, l'image prise par Hubble présente plus de 250 000 étoiles, observables individuellement. La plupart d'entre elles ont entre 9 et 10 milliards d'années... et sont deux fois plus âgées que notre Soleile !

    La photographie de Messier 9 montre très clairement des différences de couleur entre les étoiles. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, celles aux couleurs chaudes (rouge, orange, jaune) sont les plus froides, la couleur étant due à leur extinction. En revanche, les étoiles bleues ou blanches sont les plus chaudes.


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  • 2011 MD : l’astéroïde qui a frôlé la Terre

    Le 27/06/2011 à 23:00 -

    Réagissez !

     

    Lundi 27 juin au soir, l'astéroïde 2011 MD est passé, près, très près de la Terre.

    Que s'est-il passé ? Quels étaient les risques pour notre planète ? Explications. 

    © Observatoire de Remanzacco

    Vous ne vous en doutiez sûrement pas, mais lundi 27 juin au soir s’est produit un phénomène astronomique qui arrive tous les six ans, selon la NASA. L’astéroïde 2011 MD a survolé la Terre... à seulement 12.000 kilomètres au-dessus de l'océan Atlantique.
    En comparaison, la Lune se situe à 400 000 kilomètres de notre planète Bleue. L’astéroïde, d’un diamètre de cinq à vingt mètres nous a donc frôlé avant de poursuivre sa trajectoire.   

    Quels risques pour la Terre ?

    L'astéroïde n’a pas touché l’atmosphère terrestre, mais si cela avait été le cas, il aurait été désintégré en raison de sa petite taille. L'astéroïde ne présentait donc aucun risque pour la Terre.


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    Une météorite dans le ciel breton ?

     

    Mardi matin, vers 5h15, les Bretons ont été témoins d'un phénomène étrange : une intense lumière blanche, devenue orange, suivie d'une explosion.

    Avion qui passe le mur du son ? Extraterrestres ? Missile ? L'explication serait plus astronomique... Il s'agirait certainement d'une météorite !

     

     

     

    Alors que la majorité d'entre eux dorment encore, une explosion dans le ciel réveille de nombreux Bretons, mardi matin. Ceux qui sont déjà levés ont même pu apercevoir une intense lumière blanche dans le ciel, se transformant en une boule de feu orange quelques minutes avant l'explosion.

    Immédiatement, tout le monde y va de son hypothèse. Certains pensent à un avion traversant le mur du son, d'autres au passage d'un missile, et enfin, quelques-uns à une invasion extraterrestre !

    "Elle provoque des secousses comme un avion supersonique"
    Cependant, selon Priscilla Abraham, responsable du planétarium de l'Espace des sciences de Rennes, interrogée par l'AFP, la théorie "qui semble plus que plausible" trouve sa source dans l'astronomie. Le phénomène observé par les Bretons correspondrait à l'explosion d'une grosse météorite.

    La lumière blanche s'expliquerait par la pénétration de la météorite dans l'atmosphère. Puis la météorite virerait au rouge en s'échauffant. Enfin, après de nombreuses vibrations, "elle va finir par exploser, provoquer des secousses comme un avion supersonique".

    "Une météorite plus grosse que d'habitude"
    Habituellement, les météorites explosent à 70 ou 90 km d'altitude. Si le phénomène observé mardi matin est bien l'explosion d'une météorite, il semblerait que celle-ci se soit décomposée à environ 50 km d'altitude. Selon Priscilla Abraham, "on peut imaginer qu'elle était plus grosse que d'habitude, donc elle est tombée plus bas".

    Une explosion à 50 km d'altitude est en théorie visible dans un rayon de 800 km, mais les conditions météorologiques de mardi matin n'ont permis de voir l'explosion que dans un rayon de 300 km. Voilà pourquoi seuls les Bretons ont cru que le ciel leur tombait sur la tête !


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  • La NASA a perdu des morceaux de Lune

     

    Des dizaines de milliers de fragments de Lune ont été rapportés des différentes missions Apollo.

    Mais 517 morceaux auraient disparu des locaux de la NASA. Les explications de Planet.fr.

     

     

     

    A la fin de l'année 2011, la NASA a fait un inventaire des divers matériaux spatiaux qu'elle avait récoltés lors des missions. Le résultat est sans appel : selon le New York Times, entre 1970 et 2010, 517 morceaux de Lune ont disparu de la collection.

    Ces disparition auraient eu lieu après que les morceaux de Lune aient officiellement été prêtés. En effet, dans le cadre de la recherche scientifique, la NASA envoie régulièrement des fragments lunaires aux laboratoires. Certains scientifiques les auraient ainsi conservé sans pratiquer la moindre recherche à leur sujet. Le rapport signale même que d'autres morceaux de Lune auraient purement et simplement "disparu", car détruits, perdus ou vendus.

    Des cadeaux diplomatiques pour épater
    Mais les laboratoires et leurs scientifiques ne sont pas les seuls mis en cause. Les musées sont aussi très nombreux à conserver des morceaux de Lune pour attirer les visiteurs.

    Par ailleurs, des morceaux de Lune ont souvent été offert comme cadeau diplomatique afin de signifier au reste du monde que l'Amérique est bien l'une des plus grandes puissances spatiales.

    Même si la quantité de fragments de Lune disparu est plutôt minime compte tenu de ceux que la NASA possède, ces disparitions commencent à inquiéter l'agence spatiale américaine. Joseph R. Gutheinz, ancien agent de la NASA, s'est fait une spécialité de rechercher les précieux morceaux.

    26 000 objets prêtés par la NASA
    The Independant raconte ainsi qu'il "interceptait les citoyens qui essayaient de vendre des rochers lunaires qu'ils avaient acquis de manière illégale au marché noir, parfois pour des millions de dollars. Maintenant, il essaye de les trouver où il peut, les endroits les plus probables étant une boîte à chaussures ou une cave".

    On estime qu'en mars 2011, pas moins de 26 000 fragments d'objets spatiaux étaient prêtés par la NASA.


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  • L'Union Européenne finance un programme pour protéger la Terre des astéroïdes

     

    Si vous avez peur des scénarios catastrophe dans lesquels des astéroïdes s'écrasent sur Terre et balaient tout sur leur passage, vous pouvez désormais être tranquille.

    L'Union Européenne finance un programme spécial qui étudie les différentes méthodes pour dévier les objets célestes menaçant la Terre. Explications. 

     

     

    Chute de satellites, météorites… Si ces derniers mois le ciel a failli nous tomber sur la tête à plusieurs reprises, cela ne devrait pas se reproduire de si tôt. Des scientifiques y veillent ! 

    Les chercheurs du programme NEOShield se sont réunis cette semaine à Berlin pour discuter de la meilleure façon d’éviter l’impact de qu’ils appellent un "corps géocroiseur" (astéroïde, comète…). 
     
    Même si les possibilités pour qu’un objet céleste s’écrase sur Terre sont faibles, une telle catastrophe pourrait rayer une ville ou un pays de la carte si elle arrivait. Ce programme de recherche a donc été financé par l’Union Européenne pour trois ans et demi et un coût de 4 millions d’euros.   
     
    Le programme NEOShield a prévu trois scénarios pour éviter un corps géocroiseur, au cas où notre planète serait menacée :
     
    - L’envoi d’une sonde spatiale à grande vitesse destinée à percuter l’astéroïde. Reste à savoir ce qu’il adviendrait de ce dernier après la collision. 
    - La deuxième méthode consiste à faire dévier la trajectoire du corps céleste en envoyant une sonde qui, sans le toucher, pourrait attirer l’engin et modifier sa trajectoire. 
    - La destruction de l’objet géocroiseur à l’aide d’une fusée transportant une charge nucléaire. 
    Cette méthode, surnommée « la méthode de la dernière chance » ne serait utilisée que pour les cas extrêmes, dont les astéroïdes très dangereux. Elle présente également un risque de contamination radioactive en cas de problème lors du décollage de la fusée.

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  • La dernière tempête solaire s'est nettement dégonflée, selon les autorités

     

     

    La tempête solaire qui a frappé la Terre jeudi n'est pas la plus forte depuis cinq ans ni même l'une des plus puissantes de cette période contrairement aux prévisions initiales, ont annoncé les autorités américaines.

    La tempête de particules, provoquée par une éruption solaire et classée force un sur une échelle qui en compte cinq, n'a finalement provoqué aucune perturbation dans les communications satellitaires, dans le système de positionnement par satellite (GPS), ou encore des réseaux de distribution électrique, a fait valoir l'agence américaine des océans et de l'atmosphère (NOAA).

    "Jusqu'à présent aucune perturbation du système électrique ou des communications nous a été signalée", a dit Joseph Kunches, un expert de "la météo spatiale" à la NOAA, lors d'une conférence de presse.

    Il a toutefois souligné que les effets de cette tempête pourraient peut-être s'intensifier au cours des prochaines 24 heures, au terme desquelles le phénomène devrait cesser.

    Peu avant cette conférence de presse, une porte-parole de la NASA interrogée par l'AFP, avait fait état de "perturbations dans les communications radio et le système GPS", ainsi qu'à des modifications de routes de certains avions de ligne. Elle avait toutefois précisé n'avoir aucune connaissance directe de ces incidents.

    Deux éruptions de plasma solaire ou éjection de masse coronale à l'origine de cette tempête, se sont produites mardi soir et tôt mercredi matin à une heure d'intervale dans la même région du soleil, selon la NASA.

    Les vents chargés de particules solaires avançant à très grande vitesse -- de 100 km/seconde à 2.500 km/seconde-- ont atteint l'atmosphère terrestre jeudi vers 10H45 GMT, selon la NOAA.

    Mais la tempête géomagnétique qui s'est produite au contact du champ magnétique terrestre n'a finalement atteint que la force un, le plus bas niveau de l'échelle.

    "Nos services de prévisions ont vraiment eu beaucoup de mal avec cette tempête solaire", a insisté Joseph Kunches. "C'est très difficile, voire quasiment impossible, de prédire la direction du champ magnétique en observant une éruption de plasma solaire".

    La NOAA avait prédit mercredi que cette tempête avait le potentiel d'atteindre le niveau trois de cette échelle, ce qui en aurait fait la plus puissante depuis 2006.

    Autre conséquence, les aurores boréales seront observables plus au nord et leur intensité lumineuse sera aussi atténuée par le fait que la lune est très brillante en ce moment, a indiqué Joseph Kunches.

    La précédente tempête solaire qui s'était produite le 23 janvier était également de force 1, a-t-il dit.

    "L'augmentation du nombre d'éruptions solaires est normale au regard des cycles d'activités du soleil d'environ onze années, qui, pour cette période devrait atteindre son maximum en 2013", selon la NASA.

    Une intensification de ces éruptions peut se faire plus fréquente lorsque le soleil achève un cycle d'activités pour en entamer un autre beaucoup plus actif, comme c'est le cas depuis janvier 2008.


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