• Nord : une mini-tornade s’est abattue

    sur Bailleul !

    Deux personnes ont été blessées et d’importants dégâts ont été causés dimanche soir à Bailleul (Nord), à cause d’une mini-tornade. Plus de détails.

    <section class="block-gc-ad" id="block-gc-ad-pave_bas">

     

    </section>

    Les Etats-Unis ne sont pas les seuls à connaître des tornades. Dimanche soir vers 19 heures, la ville de Bailleul, dans le Nord, a en effet été victime d’une mini-tornade. Et si l’intensité de ce phénomène météorologique reste encore à déterminer, un bilan des dégâts qu’il a causés à d’ores et déjà été établi. Selon les premiers éléments recueillis, deux blessés légers seraient à déplorer. Ils auraient été touchés "par des choses qui volaient".

    Un supermarché a perdu tout un pan de mur
    Des fenêtres ont par ailleurs été soufflées et des toitures arrachées, tandis que des vérandas ont explosé et que l’électricité a été coupée dans plus de 1 500 foyers. Selon la préfecture du Nord, une vingtaine d’interventions auraient été recensées pour des dégâts matériels, principalement le long de plusieurs rues de la ville. Un supermarché de Bailleul aurait même perdu  tout un pan de mur à cause de cette mini-tornade. "Ça a duré une minute. Mon beau-frère a juste eu le temps de se plaquer contre le mur pour se protéger", a raconté un témoin à la
    Voix du  Nord. "Vers 19h15, j'étais dans mon garage quand j'ai vu la porte soufflée vers l'intérieur. L'électricité s'est coupée. (...) Tout a été dévasté", a également témoigné  un autre habitant de la ville au quotidien. Et si l’électricité a pu être rétablie aux alentours de 21 heures, les sapeurs-pompiers de la ville ont travaillé pendant plusieurs heures pour venir en aide aux habitants sinistrés. Les opérations devraient se poursuivre dans la journée.


    votre commentaire
  • Espace : un satellite va bientôt

    s'écraser sur Terre

    Le satellite GOCE, lancé dans l’espace en 2009 pour mesurer la gravité de notre planète, achèvera bientôt son parcours. Il menace, dans les jours à venir, de s’échouer sur Terre.

    Bientôt en panne sèche, le satellite GOCE, en orbite depuis 2009, tombera bientôt sur la notre planète. Le lieu et la date de sa chute ne sont pas encore connus.

    L’Agence spatiale européenne (ESA) a annoncé, vendredi dernier, la menace de la chute du satellite GOCE, lancé en 2009. Le réservoir du satellite, d’une capacité de 41 kg, ne contiendrait aujourd’hui plus que 350 grammes de xénon, un gaz rare. Cela signifie que son moteur va bientôt arrêter de tourner. Le satellite achèvera donc, prochainement, sa trajectoire dans l’espace pour tomber sur Terre.

    "À partir du moment où le réservoir sera vide, cela peut prendre en gros deux ou trois semaines", a indiqué Christoph Steiger, chef des opérations de GOCE.
    La date de la chute du satellite n’est pas encore connue, tout comme son lieu. "Impossible aujourd’hui de prévoir sur quel point de la Terre GOCE, ou plutôt ce qu’il en restera, va atterrir", a précisé Christoph Steiger.

    Un risque "très faible"

    "Le moteur fonctionne toujours, mais cela signifie que nous sommes très près de la fin", a-t-il ajouté. Le moteur du satellite peut s’arrêter à tout moment. La date est toutefois estimée au 26 octobre.

    La "trace au sol" du satellite ne pourra, quant à elle, être déterminée seulement quelques heures avant sa chute. Le risque pour les Terriens est jugé "très faible" par les experts. Cependant ces derniers affirment que le risque n’est pas tout à fait nul. "Le risque d’être touché par un débris d’engin spatial est 65 000 fois plus faible que celui d’être touché par la foudre", affirme Christoph Steiger. "Des objets de la masse de GOCE, il en retombe un par semaine en moyenne", précise Fernand Alby, le responsable des activités débris spatiaux et surveillance de l'espace de l'agence spatiale française (Cnes).

    Un satellite à seulement 260 km d'altitude

    Ce satellite de 5,3 mètres de long voyage dans l’espace à seulement 260 km d’altitude. Il a été mis en place pour cartographier le champ de gravité terrestre ainsi que de fournir aux scientifiques des données cruciales afin d’étudier l’évolution du climat ou des séismes sur la Terre. GOCE a permis notamment de créer la première carte mondiale à haute résolution de la frontière entre la croûte et le manteau de la Terre, le Moho. Il a également détecté des ondes du séisme qui a frappé le Japon le 11 mars 2011.

    Ceux qui se trouveront à proximité du lieu de la future chute du satellite pourront observer "un phénomène lumineux assez important" dans le ciel, un peu comme pour une météorite.


    votre commentaire
  • A quoi ressemblerait votre vie si vous

    surviviez à l'impact du méga astéroïde

    qui pourrait heurter la terre en 2032

    Des scientifiques russes ont identifié un objet céleste de grande taille dont le chemin pourrait croiser celui de la Terre le 26 août 2032.

    <figure class="clearfix field-item even">

    Selon la Nasa, il y a une probabilité de 99,998% pour que l'astéroïde 2013TC135 passe au large de la Terre en 2032.

    </figure>
    <section class="block-gc-ad" id="block-gc-ad-pave_bas">

     

    </section>

    Après le 12/12/2012, le 26 août 2032. L'agence spatiale russe a répertorié début octobre un astéroïde de 365 mètres de diamètre alors qu'il passait "à proximité" de la Terre, à 6,7 millions de kilomètres. Or, selon le vice-Premier ministre russe en charge de la recherche spatiale, l'objet céleste, baptisé 2013TC135, pourrait heurter la planète bleue lors de son prochain passage, dans 19 ans : 

     
    Le cas échéant, le choc serait digne de l'Armageddon. Si l'astéroïde frappait la Terre, la déflagration aurait la puissance d'une bombe nucléaire de 2 500 mégatonnes : ce serait comme si 60% des armes nucléaires de la planète explosaient en même temps et au même endroit,
    explique Quartz. A titre de comparaison, la puissance de la bombe lancée sur Hiroshima est estimé entre 13 et 16 kilotonnes...

    La secousse produite serait équivalente à un tremblement de terre de magnitude 7. Le cratère ferait à lui seul environ deux fois la largeur de Manhattan et serait aussi profond que le One World Trade Center (541 mètres). A supposer que vous vous trouviez dans un rayon de 100 kilomètres du point d'impact, vous seriez bombardé de débris de 5 centimètres dans les deux minutes. A moins de 30 kilomètres, les débris auraient la taille de lave-vaisselles...

    Passées cinq minutes, le souffle d'air généré par la chaleur de l'explosion créerait des vents aussi forts que ceux des ouragans. Sans parler du nuage de poussières qui pourrait entraîner des conséquences irréversibles, dont la disparition de toute vie sur Terre, ajoute Direct Matin.

    Mais rassurez-vous. Il est très peu probable qu'un tel scénario se produise : les astrophysiciens russes ont affirmé qu'il y avait une chance sur 63...


    votre commentaire
  • L’Inde lance une mission spatiale low

    cost vers la planète Mars

    L’Inde lancerera, ce mardi, son premier satellite low cost vers la planète Mars. Cette sonde, qui a coûté seulement 55 millions d’euros, permettra de mesurer la présence de méthane dans l'atmosphère de la planète rouge.

    <section class="block-gc-ad" id="block-gc-ad-pave_bas">

     

    </section>

    Ce mardi, l’Inde lancerera son premier satellite low cost dans l’espace afin que celui-ci atteigne Mars. Si cette sonde arrive à destination, le pays sera le premier d’Asie à atteindre la planète rouge.

    L'Inde, leader de l'innovation low cost

    Mars Orbiter, le satellite low cost indien, a été construit selon le "jugaad", une des solutions la moins onéreuse. En effet, celui-ci n’a coûté que 55 millions d’euros. A titre de comparaison, construire Ariane 5 a coûté environ 6 milliards d’euros et son lancement vaut aux alentours de 100 millions d’euros. L’Inde s’impose alors comme le leader de l’innovation du low cost. Le pays produit déjà la voiture la moins chère du monde.

    Ce satellite doit mesurer la présence de méthane dans l’atmosphère de la planète Mars afin de savoir si la vie sur la planète rouge est possible.

    "Toute mission interplanétaire est complexe. S'agissant de Mars, il y a eu 51 missions dédiées jusqu'ici dans le monde, dont 21 réussies", a expliqué le directeur de l'Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO), K. Radhakrishnan, dans un entretien à l'AFP.

    "Ne la sous-estimez pas parce que c'est une mission bon marché et pionnière", informe un journaliste scientifique indien Pallava Bagla. "Il y a du Jugaad, il y a de l'innovation et tout le monde cherche aujourd'hui à réaliser des missions à bas coûts", assure-t-il. Le lancement de Mars Orbiter aura lieu ce mardi à 14h38.

    Ce n'est pas le premier satellite lancé vers Mars

    Plusieurs pays ont déjà lancé des missions spatiales sur Mars. Le 18 novembre prochain, la Nasa lancera Maven, une sonde envoyée afin de comprendre les raisons de la disparition de la plus grande partie de l’atmosphère marsienne.

    Le robot Curiosity, arrivé sur la planète en 2012, a lui affirmé la vie microbienne marsienne dans son lointain passé.

    Des tests n'ont, quant à eux, jamais abouti. Par exemple, en 2011 une mission russo-chinoise a échoué, le satellite n’ayant jamais atteint la planète Mars. 


    votre commentaire
  • Espace : découvrez l'étoile de la mort

    qui pourrait mettre fin à l’humanité

    Une étoile située à 8000 années lumière de la Terre, en fin de vie, serait à même de produire un phénomène qui pourrait mener notre espèce à sa perte. Une éventualité d’autant plus inquiétante qu’elle est amenée à se produire dans quelques milliers d’années seulement. 

    Wolf-Rayet 104. Ce nom ne vous dit rien, et pourtant, celui-ci désigne ce qui pourrait bien causer notre perte. Cette dénomination scientifique désigne un conglomérat de deux étoiles supermassives découvertes en 2008, dont la particularité inédite est de tournoyer en orbite l’une autour de l’autre. Ce phénomène, occasionne un rejet de particules et de poussières provoquant la formation d’une gigantesque spirale d’une impressionnante régularité cernant les deux astres. Mais les deux sœurs s’avèrent être bien plus qu’un simple chef-d’œuvre stellaire. En effet, les géantes d’hélium et d’azote, par leurs tailles, se consument, comme toutes les étoiles supermassives, à une très grande vitesse, ce qui mènera inévitablement, dans quelques centaines d’années seulement, à leur effondrement en supernova – une déflagration dont la puissance illumine l’univers tout entier –. Deux véritables bombes prêtes à exploser.

    Un véritable danger pour la Terre

    Seulement, là ne s’arrête pas l’épopée de WR 104. Situées à quelques 8000 années lumières de notre Terre, l’astre pourrait fort emporter notre planète dans sa frénésie autodestructrice. En effet, alors qu’une simple explosion de supernova, à cette distance, ne constituerait aucun véritable danger, Wolf Rayet 104 présente une caractéristique infiniment plus inquiétante.

    En s’effondrant en trou noir, l’étoile, considérée comme une véritable étoile de la mort à l’image de la saga Star Wars, pourrait produire un des phénomènes les plus violents de l’univers : un sursaut gamma, issu de la collision entre la matière et l’antimatière dégagées par l’explosion, qui se dégagerait de chacun de ses pôles. Les rayons gamma constituent d’ailleurs les ondes électromagnétiques les plus puissants connus à ce jour.

    Mais là ne s’arrête pas la dure fatalité de notre planète. En effet, des observations ont révélé que la Terre fait exactement face à la spirale de poussière formée par les deux étoiles. Autrement dit, notre latitude correspond exactement à la trajectoire du futur – et très probable – sursaut gamme. Notre Berceau ferait donc face à un gigantesque canon prêt à tirer. Voyageant à la vitesse de la lumière, le boulet fatal mettrait donc 8000 années à nous atteindre. Un compte à rebours peut être déjà commencé.

    Vers une extinction de masse

    Si la Terre venait à être touchée par une telle calamité, le gigantesque flash, équivalant à des milliers de fois la lumière du soleil, aveuglerait tous ceux n’étant pas protégés. La couche d’ozone s’embraserait immédiatement et perdrait 30% de son épaisseur, et qui entraînerait une percée de rayons ultraviolets en provenance du soleil, détruisant la majeure partie des espèces, dont peut être l’Homme, entraînant la sixième extinction de masse que la Terre ait connue. Par ailleurs, l’une des cinq précédentes, étant survenue au cours de 500 millions d’années nous précédant, pourrait être imputée à un tel phénomène. 

    Ci-dessous, un extrait du documentaire "L'Univers et ses mystères : l'étoile de la mort", expliquant en détais le phénomène :


    votre commentaire
  • <header class="clearfix" id="main-content-header">

    Espace : combien de planètes dans la

    galaxie seraient habitables ?

    </header>

    La Nasa a annoncé dernièrement, au terme d’analyses des données recueillies par le télescope Kepler, avoir établi la possible habitabilité de nouvelles planètes au sein de la galaxie. Une découverte majeure, obscurcie par une réalité bien plus complexe. Explications.

    Une nouvelle plutôt Terre-à-Terres. Parmi les quelques 55 milliards d’étoiles composant l’immensité de notre galaxie, certaines, des naines rouges pour la plupart, seraient en mesure d’abriter un système solaire propice à la vie, a annoncé la Nasa. Hors de ces systèmes solaires se trouvent également une infinité d’exoplanètes, corps célestes n’orbitant pas autour d’une étoile au sein d’un système solaire. Au total, 10 planètes seulement – sur les 833 listées – ont, pour le moment, été évaluées comme potentiellement habitables.

    La Terre, une petite bleue pas si unique

    Le télescope spatial Kepler, aujourd’hui hors service après plus d’un an d’orbite, n’a pas chômé. Il a notamment permis à la Nasa, au terme d’une conférence réunissant des astronomes du monde entier, et au terme de 3 ans d’analyses, de rajouter pas moins de 3538 exoplanètes à la liste des corps potentiellement habitables. Une estimation qui, bien qu’extrêmement rigoureuse, se base exclusivement sur les statistiques livrées par le télescope. Parmi celles-ci, 833 ont été validées, au sein desquelles 647 seraient de taille terrestre. Finalement, 104 corps célestes seraient propices à une installation humaine, dont 10 seulement sont rocheuses comme la Terre.

    L’impossibilité d’une Terre

    Pourtant, malgré ces estimations plutôt réjouissantes, il s’avère qu’une émigration hors de notre Berceau semble à jamais compromise. En cause ? Les trop nombreux paramètres éventrant toutes les statistiques jusque là dressées et, surtout, la distance gargantuesque nous séparant de ces éventuelles terres de la seconde chance. Geoffrey Marcy, co-auteur d'une étude à paraître sur cette découverte, fait preuve de nuance : "Certaines pourraient par exemple avoir des atmosphères trop épaisses, rendant les températures à sa surface trop chaudes pour des organismes vivants. En fait, nous ignorons encore l’étendue des types de planètes et de leurs environnements où la vie pourrait exister." 

    Mais là ne réside pas le plus grand obstacle. Quel est-il ? La distance. Située à 12 années lumière – soit 113532 milliards de kilomètres – de la Terre, l’exoplanète la plus proche, si tant est qu’elle est habitable, nous prendrait pas moins de 324860 ans à atteindre, à raison d’une vitesse de croisière de 39895 km/h équivalent au record de vitesse pour un véhicule habité détenu par Apollo 10. Dès lors, à moins d’augmenter considérablement nos performances en termes de vitesse, il semble bien que ce doux rêve d’expédition soit condamné à le rester.


    votre commentaire
  • Etats-Unis : découverte d’un dinosaure

    encore plus ancien que le T.Rex

    Des paléontologues américains ont découvert une nouvelle espèce de dinosaure, le Lythronax. Il serait plus vieux de 10 millions d’années que le Tyrannosaure Rex.

    Un squelette d’une nouvelle espèce de dinosaure, le Lythronax, a été révélé par des paléontologues américains au musée d’histoire naturelle de l’Utah, à Salt Lake City. Ce dinosaure serait plus ancien de 10 millions d’années que le T.Rex.

    8 mètres de long, 2,5 tonnes

    Cette nouvelle espèce, qui date d'y il a 80 millions d’années, était légèrement plus petite que le Tyrannosaure Rex. Doté d’un crâne épais et de larges dents, le Lythronax faisait 8 mètres de long et pesait 2,5 tonnes. Tout comme le T.Rex, ce carnivore bipède avait des petits bras ainsi qu’un museau étroit.

    Le Lythronax existait plus de 10 millions d'années avant le T.Rex

    Le Lythronax vivait, selon les paléontologues, à une période allant de -84 à -70 millions d’années.  

    "Jusqu'à la découverte du Lythronax, on pensait que les grands tyrannosaures étaient tous apparus vers environ -70 millions d'années alors que le Lythronax existait déjà plus de dix millions d'années auparavant", explique Mark Loewen, paléontologue et principal auteur de cette recherche.

    Les dinosaures auraient disparu de la surface de la Terre, selon les scientifiques, après la chute d'un gros astéroïde qui a bouleversé le climat terrestre.


    votre commentaire
  • La comète Ison est définitivement morte

    Ison est bien morte. Des scientifiques avaient annoncé sa mort jeudi 28 novembre, avant que la Nasa ne suscite un nouvel espoir le lendemain. Mais cette fois, c'est sûr, la comète n'a pas survécu à sa rencontre avec le soleil. Alex Young, un responsable de la Nasa, a confirmé mardi..

    <figure class="clearfix field-item even">

    </figure>

    Ison est bien morte. Des scientifiques avaient annoncé sa mort jeudi 28 novembre, avant que la Nasa ne suscite un nouvel espoir le lendemain. Mais cette fois, c'est sûr, la comète n'a pas survécu à sa rencontre avec le soleil. Alex Young, un responsable de la Nasa, a confirmé mardi l'information.

    Ison était un gros bloc de glaces et de roches, qui a frôlé la surface du soleil, subissant des températures de 2 700 degrés et perdant trois millions de tonnes par seconde. Jeudi soir, les observations avaient pourtant montré qu'un "morceau du noyau et des débris" avaient survécu, comme l'indique Alex Young. L'agence spatiale avait même publié un gif qui montrait Ison réapparaître derrière le soleil.

    Désormais, si la communauté scientifique n'est pas encore unanime sur la chronologie des événements, tous s'accordent à dire que l'objet céleste s'est disloqué au cours de son périple, comme le montre cette vidéo ci-dessous publiée lundi par la Nasa. A partir de samedi, "il n'y avait plus aucun signe visible de noyau, seulement un nuage diffus de poussières à travers lequel on pouvait voir les étoiles", souligne Alex Young.


    votre commentaire
  • La France est-elle assez consciente des

    catastrophes naturelles qui la menacent

    effectivement ?

    63 % des Français se disent mal informés des risques naturels auxquels ils sont exposés, selon un sondage Ifop dévoilé lors des Assises nationales des risques naturels qui se tenaient du 2 au 3 décembre à Bordeaux.

    <figure class="clearfix field-item even">

    63 % des Français se disent mal informés des risques naturels auxquels ils sont exposés.

    </figure>
    <section class="block-gc-ad" id="block-gc-ad-pave_bas">

     

    </section>

    Atlantico : Un sondage Ifop réalisé pour le ministère de l’Écologie en novembre 2013 révèle que 63 % des Français se disent mal informés des risques naturels auxquels ils sont exposés. Quels sont ces risques naturels, et où ont-ils déjà sévi ?

    Frédéric Decker : La France se situe au carrefour de nombreuses influences climatiques : arctique, continentale, tropicale, océanique... et de nombreux phénomènes violents, liés à ces diverses influences, sont susceptibles de sévir chez nous à un moment ou à un autre. Une descente d'air arctique peut provoquer un refroidissement brutal et des chutes de neige très abondantes, notamment dans l'est et sur les montagnes. Une vague de froid continentale peut survenir subitement en hiver, en provenance de Russie, et concerner tout le pays, comme en février 2012, ou pire comme en février 1956 avec -15°C à Paris, -22 à Châteauroux, ou 1879 (-24°C dans Paris, -30 à Orléans, près de -40 dans le Jura). D'origine tropicale, les masses d'air peuvent parfois occasionner des orages très dévastateurs entre la fin du printemps et le début de l'automne. Enfin, un flux océanique très dynamique peut générer des tempêtes très violentes (comme fin décembre 99, Klaus en 2009)... et c'est parfois le mauvais mélange de ces masses d'air qui dégénèrent en violentes intempéries. La rencontre entre de l'air froid et de l'air chaud peut provoquer des orages, voire des tornades comme ce fut le cas en octobre dernier. Il ne s'agit que de quelques exemples parmi tant d'autres. Toutes les régions sont plus ou moins exposées à des phénomènes extrêmes.


    votre commentaire
  • La Nasa publie des photos

    exceptionnelles du mystérieux

    hexagone de Saturne

     

    La Nasa vient de publier des photos d’une clarté exceptionnelle de l’hexagone de Saturne, ce mystérieux amas de nuages qui flotte au-dessus du pôle nord de la planète depuis plusieurs décennies.

     

    <section class="block-gc-ad" id="block-gc-ad-pave_bas">

     

    </section>

    C’est l’un des mystères de Saturne que les scientifiques ont du mal à percer, mais la Nasa vient de publier des photos exceptionnelles de l’hexagone de Saturne. Découvert il y a une trentaine d’années par la sonde Voyager, l’hexagone de Saturne est un mystérieux amas de nuages qui flotte au-dessus du pôle nord de la planète gazeuse, un phénomène qui n’a été observé nulle part ailleurs dans notre système solaire.

    Un gigantesque ouragan
    « L’hexagone est un courant d’air » a expliqué Andrew Ingersoll, cité par la Nasa, un membre de l’équipe Cassini à qui l’ont doit ces images inédites. « Un ouragan sur Terre dure en général une semaine, mais l'hexagone de Saturne est là depuis des décennies et peut-être même des siècles » a-t-il indiqué. Créé par des vents soufflant à plus de 200 km/h, l’hexagone de Saturne est gigantesque puisque chacun de ses côtés mesure 14 000 km de long.

    Un phénomène de plus en plus visible pour les scientifiques
    Les images publiées mercredi dernier, colorisées par la Nasa pour en représenter au mieux la structure, sont d’une clarté et d’une définition exceptionnelles. De plus en plus visible depuis le début du printemps saturnien (la lumière du Soleil l’éclaire en effet de mieux en mieux et sa visibilité devrait être à son apogée au moment du solstice d’été, en 2017), cet immense ouragan apparaissait déjà nettement sur les clichés pris il y a six mois. Si la Nasa bénéficie des crédits nécessaires, la mission Cassini pourrait, aux alentours de 2015, plonger dans les anneaux de Saturne, et pénétrer, en 2017, dans l’atmosphère de la planète, se rapprochant ainsi plus près de l’hexagone et pourrait, qui sait, peut-être, percer les mystères de son origine.


    votre commentaire
  • Espace : des traces d'eau sur 5

    planètes extérieures au système solaire

    La Nasa a révélé la présence d'eau sur cinq exoplanètes, des planètes extérieures au système solaire. Une découverte confortant davantage la possible présence d’une vie extraterrestre quelque part dans la galaxie. 

     

    <section class="block-gc-ad" id="block-gc-ad-pave_bas">

     

    </section>

    Ex-eau-planètes. Cinq planètes étrangères au système solaire ont été ajoutées à la liste des corps stellaires contenant ou susceptible de contenir de l’eau. Décelée par le satellite Hubble au gré de ses observations orbitales, celle-ci n’y est majoritairement présente que sous forme de traces gazeuses contenues dans l’atmosphère de leurs hôtes. Des quantités présumées trop infimes, à quoi s’ajoute l’inhospitalité de ces exoplanètes aux températures extrêmes, pour pouvoir être à l’origine d’une quelconque forme de vie. Ces "Jupiter chauds", géantes gazeuses inhabitables, constituent néanmoins une avancée de plus vers la potentielle découverte, au moins, d’une forme de vie extraterrestre ou, au mieux, d’une nouvelle terre d’asile. Cette découverte n’est pas la première du type. Ainsi, en octobre dernier, la Nasa avait-elle révélé la présence d’eau sur une exoplanète rocheuse.

    Les scientifiques sont en mesure d’évaluer la présence d’eau dans l’atmosphère d’une planète en décomposant les différentes longueurs d’ondes émises par les molécules constituant leurs atmosphères. Ainsi, au moyen de capteurs ultrasophistiqués tels que la Wide Field Camera 3 embarquée sur le satellite Hubble, ils ont été en mesure de déceler la présence d’eau sur ces planètes pour la plupart située à plus de 20 années lumières de nos contrées.


    votre commentaire
  • Mars : Curiosity a découvert les

    vestiges d’un ancien lac d’eau douce

    Des preuves certaines de la présence passée d’eau sur le sol Martien ont été recueillies par le robot Curiosity. Une avancée considérable dans la course à la vie sur la Planète Rouge. 

    Cliché du cratère de Gale, où Curiosity concentre actuellement ses recherches. Un lac d'eau douce y aurait été présent il y a quelques 3,6 milliards d'années. © NASA/JPL/CALTECH/KEN KREMER/MARCO DE LORENZO

    <section class="block-gc-ad" id="block-gc-ad-pave_bas">

     

    </section>

    Mars, ou l’insatiable Curiosity. Le droïde interstellaire vient finalement d’apporter une preuve tangible de l’existence massive, dans le passé, d’eau sur la surface martienne. Cette découverte vient conforter une découverte déjà établie, bien que mon significative, de traces aqueuses dans les sédiments rocheux de la Planète Rouge. Les scientifiques estiment, en vue de ces nouveaux éléments, que cette dernière aurait pu offrir, au cours de son existence, un environnement propice à une "vie microbienne élémentaire", comme a pu le laisser présager la présence de méthane dans son atmosphère.

    "Les conditions idéales pour une vie microbienne élémentaire"

    Carbone, hydrogène, oxygène, azote, soufre. Ce sont, entre autres composantes, les molécules retrouvées sur de nombreux sédiments analysés aux environs de la Baie du Yellowknife, dans le cratère de Gale sur Mars. Selon les scientifiques de la Nasa, celles-ci s’avèrent clairement être les vestiges d’une ancienne présence d’eau dans les environs. L’environnement accidenté et incurvé, par ailleurs, suggère que cette eau – douce – y aurait été amoncelée sous forme de lac, vraisemblablement agrémenté par un fleuve.

    Selon le Sanjeev Gupta, professeur à l’Imperial College de Londres et coauteur des travaux relatés dans la revue américaine Science, ces lacs constituent "un environnement idéal" pour, il y a de celà 3,6 milliards d’années, "qu’une vie microbienne élémentaire ait pu se développer et être préservée." Bien qu’aucune forme de vie n’ait été jusque là retrouvée sur Mars, cette découverte vient néanmoins prouver que la planète a déjà été peuplée par un organisme bactérien, le chemolithoautotrophe, également présent sur Terre sous certaines conditions hydrothermales.

    Les coordinateurs de l’itinéraire de Curiosity avaient choisi le cratère de Gale en raison de ses différentes couches sédimentaires, propices à la découverte d’eau ou de vie. Pari gagnant : arrivé sur place le 6 août 2012, le droïde à six roues n’en finit plus, au fil de son périple, de nourrir les chercheurs de nouvelles données toujours plus probantes d’une vie martienne, dans son passé le plus lointain. Tout autant de regains de "confiance dans l’avenir de cette mission et dans le fait que nous devons continuer d’explorer", selon Sanjeev Gupta.


    votre commentaire
  • -93,2°C, la température la plus froide

    sur Terre

    Des scientifiques américains ont publié, ce lundi, des nouveaux résultats présentant un nouveau record de température sur Terre : -93,2°C, la température la plus froide jamais enregistrée sur notre planète, a été enregistrée dans l’Antarctique.

    <section class="block-gc-ad" id="block-gc-ad-pave_bas">

     

    </section>

    Un nouveau record de température a été publié ce lundi par des scientifiques américains. C’est en Antarctique qu’il fait le plus froid sur la planète bleue, la température pouvant atteindre les -93,2°C.

    Située sur une haute crête du plateau de l’Antarctique de l’Est, qui va du Dôme Arugs au Dome Fuji, cette température extrêmement froide est atteinte lors de certaines nuits d’hiver au ciel dégagé.

    Ces données proviennent de plusieurs satellites de télédétection. Les chercheurs ont analysé 32 ans de données via ces satellites afin d’arriver à ces résultats.

    Un nouveau record

    Cette température de -93,2°C a été enregistrée le 10 août 2010. Le précédent record est daté du 21 juillet 1983, à la station scientifique russe Vostok dans l’est de l’Antarctique. Il faisait ce jour là, -89,2°C.

    Plus froid encore, la lune affiche des températures pouvant descendre jusqu’à -238°C.

    La température la plus élevée sur Terre a, quant à elle, été relevée en 2005 dans le Grand désert salé d’Iran. Elle avait atteint les 70,7°C.


    votre commentaire
  • Un étrange éclair vert apparu lors d'une

    éruption volcanique

    Une photo montre très clairement un énorme éclair de couleur verte produit lors de l'éruption d'un volcan au Chili. Un véritable mystère finalement élucidé. Les détails. 

    "Vert électrique" ? Un chercheur vient de révéler l’existence d’un bien étrange phénomène. Lors de la violente éruption explosive du volcan Chaitén en 2008, monstre chilien de la Cordière des Andes, un éclair de couleur verte a été aperçu au cœur de l’épais nuage de cendres et de fumée s’élevant au dessus du dôme. Photographié par Carlos Gutierrez, le cliché a finalement été révélé, au terme d’années d’investigation, lors de la conférence annuelle de l’American Geophysical Union de San Francisco. Le mystère de cette foudre à l’étrange coloration a finalement été percé par Arthur Few, chercheur spécialisé dans l’étude des éclairs.

    Un orage et des particules  

    La rencontre fortuite entre un orage et l’épaisse fumée se dégageant du cratère serait la cause de ce phénomène rarissime. Alors que les éclairs verts sont fréquents lors des éruptions volcaniques, le phénomène n'a cependant jamais été photographié jusque là. Arthur Few explique qu’une telle pigmentation serait due à l’altitude, dont la pression tendrait à influer sur la nature des ions d’hydrogène et d’oxygène, causant une variation du spectre de la décharge. Une autre cause, selon lui, serait l’agitation des atomes d’oxygène causée par l’électricité ambiante tout comme pour les aurores boréales. Une cause des plus simples, qui n’enlève en rien la beauté du phénomène.


    votre commentaire
  • Eau : Le jour où la planète ne sera plus

    Bleue

    Une nouvelle étude révèle que la Terre se verra totalement dépourvue d’eau d’ici un milliard d’années. Une estimation revoyant les précédentes à la hausse, et incriminerait exclusivement les rayonnements solaires. 

    Quand la Terre ne sera plus que terre. Une étude publiée dans la revue Nature dresse une estimation de la date de l’évaporation de la dernière goutte d’eau de notre planète. Celle-ci devrait rejoindre l’immensité stellaire d’ici un milliard d’années. Pourtant, la raison d’un tel phénomène ne serait en rien imputée au réchauffement climatique occasionné par l’industrie et la technologie humaine. En effet, le coupable ne serait autre que le Soleil, dont l’amplification des rayonnements au cours des centaines de millions d’années à venir viendrait affaiblir l’atmosphère terrestre. L’effet de serre qui s’en suivrait ferait, progressivement mais drastiquement, grimper les températures. Ainsi, après plusieurs centaines de millions d’années d’ébullition, l’eau s’évaporerait peu à peu. Ne laissant plus derrière elle qu’un amas de roche et de terre. Privant la planète de son bleu caractéristique.

    Les prévisions initiales revues à la hausse

    Le Laboratoire de météorologie dynamique, du CNRS, indique que l’étude tendrait à rallonger le sursis aquatique de la planète de plusieurs centaines de millions d’années, infirmant les estimations précédentes, dont certaines prévoyaient un assèchement d’ici 150 millions d’années seulement. Le seuil critique, et le début de l’évaporation, serait atteint lorsque le flux solaire moyen atteindrait les 375W/m². A titre indicatif, le seuil moyen actuel n’excède pas les 341W/m². Les auteurs de la recherche appuient leurs données par le recalcul de la zone habitable autour du Soleil. Ainsi, une planète ne peut s’en approcher à moins de 0,95 unité astronomique sans voir l’eau la constituant bouillir, puis s’évaporer. Une unité astronomique désignant la distance moyenne entre la Terre et le Soleil, force est de constater que nous résidons à la limite de ce seuil mortel.


    votre commentaire
  • La Lune à la portée de la Chine

    Depuis quarante ans personne n'avait tenté d'allunir. Samedi, la Chine

    est devenue la troisième nation à réussir à poser une sonde sur la Lune.

    Retour sur cet épisode de l'aérospatiale.

     

     

    <section class="block-gc-ad" id="block-gc-ad-pave_bas">

     

     

    </section>

    Douze jours après le lancement de sa fusée, la Chine a réussi à poser une sonde sur la Lune. Après les Etat-Unis et la Russie (l'URSS), la Chine devient le troisième pays à mener à bien un alunissage. Depuis 1976 et Luna 24, une mission soviétique, aucune nation n'avait essayé d'atteindre le satelitte naturel de la Terre qui se trouve à environ 384 400 kilomètres de notre planète.

    Des Chinois bientôt sur la Lune?

    La sonde, autrement appelée rover dans le jargon de l'aérospatiale, s'est posée sur la Lune moins de deux semaines après le lancement de la mission Chang'e-3. Ce rover contient le "Lapin de jade" qui est un véhicule mobile tout-terrain visant à l'exploration lunaire. Cet engin de 120 kilos est directement téléguidé depuis la Chine. Les Chinois disposent désormais des compétences leurs permettant d'envoyer des hommes sur l'astre.

    Pour l'anecdote, la Chine est venue à bout de l'alunissage de sa propre sonde du premier coup. "Chang'e 3 dispose de capteurs pour détecter le sol à une dizaine de mètres afin de s'assurer que la fusée ne sera pas éteinte trop tôt ou trop tard", rappelle au Figaro un scientifique de l'Agence spatiale européenne (ESA).


    votre commentaire
  • Photos : un avion d'un autre monde ?

    Incroyable mais vrai ! Ces photographies n'ont pas été retouchées numériquement. Sébastien Lebrigand, photographe français, a réussi à capter ces étonnantes images d'avions comme s'ils passaient tout près de la lune et du soleil.

    Photos : un avion d'un autre monde ?

    A l'oeil nu, les avions qui passent devant la lune ou le soleil ressemblent à des grosses taches noires. Mais le photographe français Sébastien Lebrigand, grâce à un téléscope astrographe à lentille spéciale, a réussi à capturer les détails impressionnants des appareils.

     

     

    Photos : un avion d'un autre monde ?

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Frisson : visitez ces parcs d'attractions

    totalement abandonnés...

    De nombreux lieux abandonnés existent à travers le monde... Et notamment de nombreux parcs d'attraction. Le site Topito.com propose une sélection de photos troublantes. Images.

    Dadipark en Belgique : abandonné en 2002

    Impressionnants et même effrayants, de nombreux parcs d'attractions autrefois peuplés d'enfants et de leurs familles se retrouvent aujourd'hui à l'abandon. La végétation reprend ses droits et les métaux se mettent à rouiller, comme dans le parc de Dadipark, en Belgique, abandonné depuis 2002.

     

     

    Spreepark en Allemagne : abandonné en 2002

     
     

    Pripyat Amusement Park en Ukraine : abandonné en 1986

     

    Jazzland/Six Flags New Orleans aux

    Etats-Unis : abandonné en 2005

     

    Nara Dreamland au Japon : abandonné en 2006

     

     

    Okpo Land en Corée du Sud :

    abandonné en 2011

     

    Takakanonuma Greenland Park au

    Japon : abandonné en 1999

     
     

    Miracle strip aux Etats-Unis :

    abandonné en 2004

     
     

    Un parc abandonné dans la province

    d'Hubei, en Chine

    •  

     


    votre commentaire
  • Photos : ces villes inconnues des cartes

    du monde

    Pour différentes raisons, certaines villes n'ont monde n'ont pas laissé de traces sur les cartes pendant très longtemps. Ce sont ces villes que Gregor Seiler a choisi de photographier. Découvrez-les avec Planet.fr.

    Une ville au Chili

     

     

    Nordelta, en Argentine

     

    Nordelta, en Argentine

     
     

    Mirny, en Russie

     

    Une ville de l'ouest du Sahara

     

    La ville de l'ouest du Sahara

     

    Une ville d'Azerbaïdjan

     

    Une ville d'Azerbaïdjan

     

    Une ville du Qatar

     

     


    votre commentaire
  • Espace : la Nasa dévoile une photo

    inédite de Saturne !

    La Nasa a récemment publié une photo exceptionnelle de Saturne. D’une incroyable qualité, le cliché montre la planète avec tous ses anneaux fantomatiques.

    Saturne comme vous ne l’avez jamais vue. Voici ce que vous promet le cliché de Saturne que la Nasa a dévoilé le 12 novembre. Pris le 19 juillet 2013 par la sonde Cassini, celui-ci a demandé près de quatre mois de travail avant de pouvoir être montré au monde entier.

    Une configuration rare dans le système solaire
    Constituée de près de 141 petites images formant une mosaïque, la photo a pu être prise alors que le Soleil se trouvait derrière Saturne. Au premier plan, la planète géante cachait alors entièrement le soleil comme lors d’une éclipse totale. Une positon rare dans le système solaire qui a permis à Cassini de regarder vers le centre du système solaire sans être endommagée par les rayons du Soleil.

    Plus de 650 000 km couverts de gauche à droite
    "Les images prises en utilisant des filtres spectraux rouge, vert et bleu de la caméra angle ont été associées et regroupées en mosaïque pour former cette vue en couleur naturelle", ont commenté les experts de la Nasa qui se félicitent d’avoir pu couvrir quelque 651 591 kilomètres de gauche à droite.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique