• Photos : deux ovnis aperçus en Grande-Bretagne ?

    Vendredi 14 juin à Bracknell au Royaume-Uni, deux objets volants non identifiés lumineux ont été aperçus - et photographiés - par Steve Lambert, témoin sur place. Explications.

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    Le temps d’observation aura été court, mais le Britannique Steve Lambert, âgé de 42 ans, a eu le temps de dégainer son smartphone afin d’immortaliser le moment. En effet, alors qu’il sortait d’un pub pour téléphoner, deux points lumineux dans le ciel ont retenus son attention. "Les ovnis se dirigeaient très rapidement vers le sud-ouest en direction de Basingstoke. Les engins étaient plus rapides que n’importe quel avion normal" a-t-il délcaré.

    L’homme a ensuite publié sa photo sur Facebook et lancé un appel à témoin pour corroborer ces évènements de la nuit. Très vite, le spécialiste des ovnis Nick Pope, qui a travaillé pour le ministère de la Défense du pays, a expliqué dans le Telegraph que ce cliché est l’un des meilleurs jamais capturé d’objets volant non identifiés.

    Le mystère reste entier
    La scène a duré "moins de cinq secondes". Et bien que Steve Lambert, habitué à prendre des photos de tout ce qui lui semble sortir de l’ordinaire, ait eu le réflexe de capturer la scène, le doute plane tout de même. En effet, réussir à photographier un tel phénomène en seulement cinq secondes peut laisser dubitatif.

    De plus, l’homme affirmait déjà avoir vu un objet lumineux de couleur orange, jaune et rouge briller dans le ciel à Bracknell en février dernier. Certains y croiront donc dur comme fer, pensant de plus belle que nous ne sommes pas seuls dans l’univers, quand d’autres y verrons une simple tromperie. C’est le cas du site ovnis-direct.com, pour qui c’est un "FAKE" (un canular). "Le témoin s’est juste servi de la réflexion de deux spots sur la vitre pour nous tromper" peut-on lire. 

     


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  • Trois nouvelles planètes habitables ont été découvertes

    Les chercheurs de l’Observatoire Européen Austral (ESO) des étoiles ont découvert trois planètes, dites "super-Terres", qui pourraient être habitées par l’homme.

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    Les chercheurs de l’Observatoire Européen Austral (ESO) n’ont pas fait une mais trois découvertes. Trois trouvailles qui se révèlent fructueuses pour l’homme. Autour de l’étoile de Gliese 667C, dont la taille représente un tiers de celle du soleil, trois "super-Terres" gravitent. Ces planètes seraient dotées d’une "zone habitable bien remplie." On pourrait même y transporter de l’eau.

    Des planètes pas si loin de la Terre
    Ces trois planètes ne sont pas situées si loin de nous ! Elles sont à quelques 22 années-lumière de la Terre, soit 207 000 milliards de km. Sur l’échelle planétaire, c’est tout à côté. Cependant, avec les moyens de transports aérospatiaux développés jusqu’à présent par l’être humain, il faudrait 20 000 ans pour y arriver.

    Verdict en 2018
    Pour le moment, les chercheurs n’ont pas assez d’éléments  pour affirmer leurs suppositions. Ils n’ont pas non plus les instruments nécessaires permettant de confirmer ou d’infirmer leurs thèses. Par exemple, ils sont pour l’instant incapables de dire si ou non ces planètes ont une atmosphère. Pour se faire, il faudra attendre le lancement d’un télescope spatiale appelé James Webb, qui aura lieu en 2018.
     

     


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  • Le passage d’une comète fonçant à 77 000 km/h capturé par Hubble

    La comète ISON se précipite vers le soleil à plus de 77 000 km/h. Son mouvement est filmé dans un time-lapse, par le télescope spatial Hubble de la NASA. Au moment où les images ont été prises, la comète était à plus de 600 millions de kilomètres de la Terre, entre les orbites de Mars et Jupiter.

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    Le film qui ne dure que quelques secondes a été réalisé à partir d’une séquence d’images de 43 minutes prises le 8 mai 2013 par le téléscope Hubble. On y voit la comète et sa traînée lumineuse composée de gaz et de poussière qui s’étend sur des centaines de milliers de kilomètres. Son noyau est désormais auréolé d’une chevelure blême, composée de glace et de poussières qui va s'accroître, le tout sur un fond d’espace bleu noir constellé d’étoiles. Même si elle parait calme sur la vidéo, la comète se déplace pourtant à près de 77 000 km/h.

    La comète ISON, acronyme de International Scientific Optical Network, a été découverte en septembre 2012 par les astronomes russes Vitali Nevski et Artyom Novichonok, et avait déjà été filmée par la sonde américaine Deep impact.

    La comète sera suffisamment brillante cet été pour être observée par des astronomes amateurs. Elle passera à proximité de la surface du soleil et devrait être visible à l’œil nu, si le temps le permet, dans l’hémisphère nord le 23 novembre. Durant quelques minutes, chauffée à plus de 2000° degrés elle risque de se désintégrer ou pourrait devenir la "grande comète de 2013". 

     


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  • Curiosity révèle qu'il existait une atmosphère riche en oxygène sur Mars il y a 4 milliards d’années

    La planète Mars livre peu à peu ses secrets. Grâce aux relevés réalisés par le robot Curiosity, les scientifiques estiment que Mars possédait une atmosphère riche en oxygène, et que celle-ci aurait été détruite il y a quatre milliards d’années.

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    Curiosity continue son exploration de la planète Mars. Après avoir découvert que le sol martien avait contenu de l’eau, le petit robot nous livre d’autres secrets de la planète rouge. D’après les relevés effectués et analysés par les scientifiques, il semblerait que Mars ait elle aussi possédé une atmosphère riche en oxygène, mais que celle-ci aurait été détruite il y a environ quatre milliards d’années.

    L'atmosphère martienne antérieure à l'atmosphère terrestre
    Curiosity, qui a déjà parcouru 1 km sur le sol martien, a notamment permis d’identifier les gaz présents dans l’air de la planète Mars. Deux équipes de chercheurs ont ainsi pu déterminer que de l’azote, de l’argon, de l’oxygène, du monoxyde de carbone et du dioxyde de carbone étaient présents sur Mars. « Les mesures de Curisotity sont, pour la première fois, assez précises pour être comparés aux relevés effectués sur Terre sur des météorites à l'aide d'instruments très sophistiqués » a expliqué Chris Webster, docteur au Nasa's Jet Propulsion Laboratory et auteur de l'une des études. Des études qui ont permis de conclure que cette atmosphère riche en oxygène se serait même développée sur Mars un milliard d’années avant de se développer sur Terre.

    Une collision spatiale
    Les mesures réalisées par Curiosity ont également permis d’établir que l’atmosphère martienne aurait été détruite il y a environ quatre milliards d’années. Les chercheurs s’attachent à déterminer l’origine de cette disparition, mais estiment que de violentes éruptions volcaniques, ou encore la collision avec un objet de la taille de Pluton, pourraient en être la cause. Les scientifiques, grâce à ces nouvelles mesures, vont désormais pouvoir simuler l’évolution du climat sur la planète Mars. Une étape fondamentale qui devrait permettre de déduire quel type de climat régnait sur la planète rouge, et si celle-ci toutes les conditions requises pour
    y accueillir la vie. Une étude qui pourrait, aussi, à plus long terme, permettre de préparer l’arrivée d’éventuels voyageurs humains sur le sol martien dans cette atmosphère aujourd’hui différente de la notre. 

     


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  • Les chutes du Niagara prennent une teinte bleue pour la naissance du Royal baby 


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