• Nord : une mini-tornade s’est abattue

    sur Bailleul !

    Deux personnes ont été blessées et d’importants dégâts ont été causés dimanche soir à Bailleul (Nord), à cause d’une mini-tornade. Plus de détails.

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    Les Etats-Unis ne sont pas les seuls à connaître des tornades. Dimanche soir vers 19 heures, la ville de Bailleul, dans le Nord, a en effet été victime d’une mini-tornade. Et si l’intensité de ce phénomène météorologique reste encore à déterminer, un bilan des dégâts qu’il a causés à d’ores et déjà été établi. Selon les premiers éléments recueillis, deux blessés légers seraient à déplorer. Ils auraient été touchés "par des choses qui volaient".

    Un supermarché a perdu tout un pan de mur
    Des fenêtres ont par ailleurs été soufflées et des toitures arrachées, tandis que des vérandas ont explosé et que l’électricité a été coupée dans plus de 1 500 foyers. Selon la préfecture du Nord, une vingtaine d’interventions auraient été recensées pour des dégâts matériels, principalement le long de plusieurs rues de la ville. Un supermarché de Bailleul aurait même perdu  tout un pan de mur à cause de cette mini-tornade. "Ça a duré une minute. Mon beau-frère a juste eu le temps de se plaquer contre le mur pour se protéger", a raconté un témoin à la
    Voix du  Nord. "Vers 19h15, j'étais dans mon garage quand j'ai vu la porte soufflée vers l'intérieur. L'électricité s'est coupée. (...) Tout a été dévasté", a également témoigné  un autre habitant de la ville au quotidien. Et si l’électricité a pu être rétablie aux alentours de 21 heures, les sapeurs-pompiers de la ville ont travaillé pendant plusieurs heures pour venir en aide aux habitants sinistrés. Les opérations devraient se poursuivre dans la journée.


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  • Espace : un satellite va bientôt

    s'écraser sur Terre

    Le satellite GOCE, lancé dans l’espace en 2009 pour mesurer la gravité de notre planète, achèvera bientôt son parcours. Il menace, dans les jours à venir, de s’échouer sur Terre.

    Bientôt en panne sèche, le satellite GOCE, en orbite depuis 2009, tombera bientôt sur la notre planète. Le lieu et la date de sa chute ne sont pas encore connus.

    L’Agence spatiale européenne (ESA) a annoncé, vendredi dernier, la menace de la chute du satellite GOCE, lancé en 2009. Le réservoir du satellite, d’une capacité de 41 kg, ne contiendrait aujourd’hui plus que 350 grammes de xénon, un gaz rare. Cela signifie que son moteur va bientôt arrêter de tourner. Le satellite achèvera donc, prochainement, sa trajectoire dans l’espace pour tomber sur Terre.

    "À partir du moment où le réservoir sera vide, cela peut prendre en gros deux ou trois semaines", a indiqué Christoph Steiger, chef des opérations de GOCE.
    La date de la chute du satellite n’est pas encore connue, tout comme son lieu. "Impossible aujourd’hui de prévoir sur quel point de la Terre GOCE, ou plutôt ce qu’il en restera, va atterrir", a précisé Christoph Steiger.

    Un risque "très faible"

    "Le moteur fonctionne toujours, mais cela signifie que nous sommes très près de la fin", a-t-il ajouté. Le moteur du satellite peut s’arrêter à tout moment. La date est toutefois estimée au 26 octobre.

    La "trace au sol" du satellite ne pourra, quant à elle, être déterminée seulement quelques heures avant sa chute. Le risque pour les Terriens est jugé "très faible" par les experts. Cependant ces derniers affirment que le risque n’est pas tout à fait nul. "Le risque d’être touché par un débris d’engin spatial est 65 000 fois plus faible que celui d’être touché par la foudre", affirme Christoph Steiger. "Des objets de la masse de GOCE, il en retombe un par semaine en moyenne", précise Fernand Alby, le responsable des activités débris spatiaux et surveillance de l'espace de l'agence spatiale française (Cnes).

    Un satellite à seulement 260 km d'altitude

    Ce satellite de 5,3 mètres de long voyage dans l’espace à seulement 260 km d’altitude. Il a été mis en place pour cartographier le champ de gravité terrestre ainsi que de fournir aux scientifiques des données cruciales afin d’étudier l’évolution du climat ou des séismes sur la Terre. GOCE a permis notamment de créer la première carte mondiale à haute résolution de la frontière entre la croûte et le manteau de la Terre, le Moho. Il a également détecté des ondes du séisme qui a frappé le Japon le 11 mars 2011.

    Ceux qui se trouveront à proximité du lieu de la future chute du satellite pourront observer "un phénomène lumineux assez important" dans le ciel, un peu comme pour une météorite.


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  • A quoi ressemblerait votre vie si vous

    surviviez à l'impact du méga astéroïde

    qui pourrait heurter la terre en 2032

    Des scientifiques russes ont identifié un objet céleste de grande taille dont le chemin pourrait croiser celui de la Terre le 26 août 2032.

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    Selon la Nasa, il y a une probabilité de 99,998% pour que l'astéroïde 2013TC135 passe au large de la Terre en 2032.

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    Après le 12/12/2012, le 26 août 2032. L'agence spatiale russe a répertorié début octobre un astéroïde de 365 mètres de diamètre alors qu'il passait "à proximité" de la Terre, à 6,7 millions de kilomètres. Or, selon le vice-Premier ministre russe en charge de la recherche spatiale, l'objet céleste, baptisé 2013TC135, pourrait heurter la planète bleue lors de son prochain passage, dans 19 ans : 

     
    Le cas échéant, le choc serait digne de l'Armageddon. Si l'astéroïde frappait la Terre, la déflagration aurait la puissance d'une bombe nucléaire de 2 500 mégatonnes : ce serait comme si 60% des armes nucléaires de la planète explosaient en même temps et au même endroit,
    explique Quartz. A titre de comparaison, la puissance de la bombe lancée sur Hiroshima est estimé entre 13 et 16 kilotonnes...

    La secousse produite serait équivalente à un tremblement de terre de magnitude 7. Le cratère ferait à lui seul environ deux fois la largeur de Manhattan et serait aussi profond que le One World Trade Center (541 mètres). A supposer que vous vous trouviez dans un rayon de 100 kilomètres du point d'impact, vous seriez bombardé de débris de 5 centimètres dans les deux minutes. A moins de 30 kilomètres, les débris auraient la taille de lave-vaisselles...

    Passées cinq minutes, le souffle d'air généré par la chaleur de l'explosion créerait des vents aussi forts que ceux des ouragans. Sans parler du nuage de poussières qui pourrait entraîner des conséquences irréversibles, dont la disparition de toute vie sur Terre, ajoute Direct Matin.

    Mais rassurez-vous. Il est très peu probable qu'un tel scénario se produise : les astrophysiciens russes ont affirmé qu'il y avait une chance sur 63...


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  • L’Inde lance une mission spatiale low

    cost vers la planète Mars

    L’Inde lancerera, ce mardi, son premier satellite low cost vers la planète Mars. Cette sonde, qui a coûté seulement 55 millions d’euros, permettra de mesurer la présence de méthane dans l'atmosphère de la planète rouge.

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    Ce mardi, l’Inde lancerera son premier satellite low cost dans l’espace afin que celui-ci atteigne Mars. Si cette sonde arrive à destination, le pays sera le premier d’Asie à atteindre la planète rouge.

    L'Inde, leader de l'innovation low cost

    Mars Orbiter, le satellite low cost indien, a été construit selon le "jugaad", une des solutions la moins onéreuse. En effet, celui-ci n’a coûté que 55 millions d’euros. A titre de comparaison, construire Ariane 5 a coûté environ 6 milliards d’euros et son lancement vaut aux alentours de 100 millions d’euros. L’Inde s’impose alors comme le leader de l’innovation du low cost. Le pays produit déjà la voiture la moins chère du monde.

    Ce satellite doit mesurer la présence de méthane dans l’atmosphère de la planète Mars afin de savoir si la vie sur la planète rouge est possible.

    "Toute mission interplanétaire est complexe. S'agissant de Mars, il y a eu 51 missions dédiées jusqu'ici dans le monde, dont 21 réussies", a expliqué le directeur de l'Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO), K. Radhakrishnan, dans un entretien à l'AFP.

    "Ne la sous-estimez pas parce que c'est une mission bon marché et pionnière", informe un journaliste scientifique indien Pallava Bagla. "Il y a du Jugaad, il y a de l'innovation et tout le monde cherche aujourd'hui à réaliser des missions à bas coûts", assure-t-il. Le lancement de Mars Orbiter aura lieu ce mardi à 14h38.

    Ce n'est pas le premier satellite lancé vers Mars

    Plusieurs pays ont déjà lancé des missions spatiales sur Mars. Le 18 novembre prochain, la Nasa lancera Maven, une sonde envoyée afin de comprendre les raisons de la disparition de la plus grande partie de l’atmosphère marsienne.

    Le robot Curiosity, arrivé sur la planète en 2012, a lui affirmé la vie microbienne marsienne dans son lointain passé.

    Des tests n'ont, quant à eux, jamais abouti. Par exemple, en 2011 une mission russo-chinoise a échoué, le satellite n’ayant jamais atteint la planète Mars. 


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  • Espace : découvrez l'étoile de la mort

    qui pourrait mettre fin à l’humanité

    Une étoile située à 8000 années lumière de la Terre, en fin de vie, serait à même de produire un phénomène qui pourrait mener notre espèce à sa perte. Une éventualité d’autant plus inquiétante qu’elle est amenée à se produire dans quelques milliers d’années seulement. 

    Wolf-Rayet 104. Ce nom ne vous dit rien, et pourtant, celui-ci désigne ce qui pourrait bien causer notre perte. Cette dénomination scientifique désigne un conglomérat de deux étoiles supermassives découvertes en 2008, dont la particularité inédite est de tournoyer en orbite l’une autour de l’autre. Ce phénomène, occasionne un rejet de particules et de poussières provoquant la formation d’une gigantesque spirale d’une impressionnante régularité cernant les deux astres. Mais les deux sœurs s’avèrent être bien plus qu’un simple chef-d’œuvre stellaire. En effet, les géantes d’hélium et d’azote, par leurs tailles, se consument, comme toutes les étoiles supermassives, à une très grande vitesse, ce qui mènera inévitablement, dans quelques centaines d’années seulement, à leur effondrement en supernova – une déflagration dont la puissance illumine l’univers tout entier –. Deux véritables bombes prêtes à exploser.

    Un véritable danger pour la Terre

    Seulement, là ne s’arrête pas l’épopée de WR 104. Situées à quelques 8000 années lumières de notre Terre, l’astre pourrait fort emporter notre planète dans sa frénésie autodestructrice. En effet, alors qu’une simple explosion de supernova, à cette distance, ne constituerait aucun véritable danger, Wolf Rayet 104 présente une caractéristique infiniment plus inquiétante.

    En s’effondrant en trou noir, l’étoile, considérée comme une véritable étoile de la mort à l’image de la saga Star Wars, pourrait produire un des phénomènes les plus violents de l’univers : un sursaut gamma, issu de la collision entre la matière et l’antimatière dégagées par l’explosion, qui se dégagerait de chacun de ses pôles. Les rayons gamma constituent d’ailleurs les ondes électromagnétiques les plus puissants connus à ce jour.

    Mais là ne s’arrête pas la dure fatalité de notre planète. En effet, des observations ont révélé que la Terre fait exactement face à la spirale de poussière formée par les deux étoiles. Autrement dit, notre latitude correspond exactement à la trajectoire du futur – et très probable – sursaut gamme. Notre Berceau ferait donc face à un gigantesque canon prêt à tirer. Voyageant à la vitesse de la lumière, le boulet fatal mettrait donc 8000 années à nous atteindre. Un compte à rebours peut être déjà commencé.

    Vers une extinction de masse

    Si la Terre venait à être touchée par une telle calamité, le gigantesque flash, équivalant à des milliers de fois la lumière du soleil, aveuglerait tous ceux n’étant pas protégés. La couche d’ozone s’embraserait immédiatement et perdrait 30% de son épaisseur, et qui entraînerait une percée de rayons ultraviolets en provenance du soleil, détruisant la majeure partie des espèces, dont peut être l’Homme, entraînant la sixième extinction de masse que la Terre ait connue. Par ailleurs, l’une des cinq précédentes, étant survenue au cours de 500 millions d’années nous précédant, pourrait être imputée à un tel phénomène. 

    Ci-dessous, un extrait du documentaire "L'Univers et ses mystères : l'étoile de la mort", expliquant en détais le phénomène :


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