• Le mystère des crop circles

    sous-marins enfin élucidé

    Depuis plusieurs années, des motifs circulaires sous-marins semblables à ceux trouvés dans certains champs de maïs américains apparaissaient ou disparaissaient au grès des courants. Néanmoins, personne n'était capable d'expliquer l'origine de ces "crop circles". Mais depuis, des chercheurs se sont penchés sur la question et réussi à résoudre l'énigme...

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    Aperçus  il y a une dizaine d’années dans les fonds marins, les premiers "crop circles"  ont suscité plusieurs interrogations de la part des scientifiques. Et pour causes, ces motifs circulaires énigmatiques ressemblent fortement à ceux trouvés dans les cultures de maïs au Texas. Constitués de sable fin, ces crop circles possèdent des vallons et des crêtes au centre. Certains d’entre eux sont décorés de coquillage et d’arêtes ! Ce mystère est désormais résolu, car l’auteur des ces forfaits se révèle être un petit poisson-globe.

    Des motifs esthétiques  pour séduire les femelles

    Pris sur le fait par des chercheurs en mission d’observation, le poisson-globe effectue ces petits cercles pendant la saison des amours. Du long de ces 12 cm, le mâle se sert de ses nageoires afin de créer les motifs circulaires. Ces dessins esthétiques sont censés séduire la femelle, qui décide de s’accoupler si les formes lui plaisent. "Néanmoins, on ignore aujourd'hui pourquoi une femelle va préférer un dessin plutôt qu'un autre, ni les critères de décision entrant en jeu", explique LiveScience pour le site Gentside.

    Une fois que la séduction et la reproduction sont achevées, la femelle dépose les œufs au centre du cercle. Dès que les œufs ont éclos, le mâle reste pour veiller sur la progéniture tandis que la femelle s’en va. Le poisson-globe met une dizaine de jours pour effectuer les crop circles (titanesque pour sa petite taille). Il en faut beaucoup moins aux courants marins pour les faire disparaître. 


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  • A la recherche de la vie extraterrestre

    Mars aurait autrefois présenté des conditions favorables à la vie. Peut-on pour autant penser que nous ne sommes pas seuls ? A lire sur Sciences et Avenir.

     
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    ALIEN. Fébrilement, nous guettons les moindres faits et gestes de Curiosity. Nous n’osons pas trop y croire pourtant, à chaque fois que le rover soulève un caillou, on ne peut s’empêcher de sentir monter en nous un seul espoir…

    Et si jamais il découvrait de la vie…

    On ne demande pas grand chose. Pas forcément un petit homme vert ou un alien baveux. Imaginez simplement que le robot mette le grappin sur un fossile d’un truc ressemblant à un petit crustacé… Notre perception de l’Univers et de notre place dans celui-ci en serait à jamais modifiée.

    Et pas besoin pour cela d’une créature aussi développée qu’un crustacé. On se contenterait très bien d’un fossile de bactérie. Allez ! Rien qu’une petite molécule organique témoignant d’une vie même passée ! Rien que ça suffirait à bouleverser notre perception du monde.

    Mais peut-on y croire ?

    Nous avons rencontré Michel Viso, exobiologiste au CNES, et l’avons soumis à une batterie de questions existentielles.


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  • ISS : un astronaute a failli se noyer dans l’espace

    L’astronaute italien Luca Parmitano a récemment eu une grosse frayeur lors d’une sortie de la Station spatiale internationale (ISS): le casque de sa combinaison se remplissait d’eau. Plus de détails sur cette mésaventure.

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    Une sortie dans l’espace qui aurait pu mal tourner. Le 16 août dernier, l’italien Luca Parmitano a effectué une sortie de la Station spatiale internationale (ISS). Un exercice comme un autre pour cet astronaute aguerri mais qui a pourtant failli tourner au drame. Alors qu’il se trouvait dans l’espace, il a en effet ressenti une étrange sensation au niveau de la nuque. Après quelques secondes d’hésitation, l’astronaute de 36 ans s’est finalement aperçu que de l’eau se trouvait dans le casque de sa combinaison. "La sensation inattendue d'avoir de l'eau sur la nuque me surprend et je suis dans un endroit où je préfèrerais n'avoir aucune surprise", a ainsi raconté Luca Parmitano sur son blog avant de confier avoir eu "la partie supérieure du casque pleine d’eau".

    Toutes les sorties dans l’espace suspendues pour le moment
    Heureusement pour lui, l’astronaute a pu écourter sa sortie et regagner l’ISS sans encombre. Une fois à bord de la Station, l’Italien a pu souffler et reprendre ses esprits tandis que de leur côté les experts de la Nasa se sont attelés à comprendre comment de l’eau a pu se retrouver dans son casque. Selon les premiers éléments recueillis, le liquide aurait pu provenir d’une fuite dans le système de refroidissement de la combinaison portée par Luca Parmitano. Mais alors que rien n’est encore certain, toutes les sorties dans l’espace ont été suspendues par mesure de précaution
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  • Un Ovni filmé par un astronaute de la NASA ?

    Un astronaute américain, Chris Cassidy, a filmé un Objet volant non identifié à l'extérieur de la Station spatiale internationale.

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    Lors d’une sortie dans l’espace, Chris Cassidy, un astronaute américain, a observé un Objet volant non identifié (Ovni) de forme ronde et de couleur orange. Un mystérieux objet flottant autour de la station orbitale. Une mandarine ? Plus sérieusement, l’astronaute, perplexe, a contacté les contrôleurs de la NASA de la base de Houston par radio. Mais il a surtout pensé à filmer ce qu’il avait sous les yeux.

    Un objet appartenant à la section russe de la station

    L’objet flottait au-dessus de la Station spatiale à un peu plus de 350 kilomètres de la Terre. Il s’agirait en fait de la couverture d’une antenne de la Station spatiale internationale, faisant partie de la section russe de la station. Et non pas d’un vaisseau spatial rempli d’extraterrestres. D’ailleurs, les Russes ont rapidement rassuré tout le monde en reconnaissant immédiatement une housse provenant de leur module de service Zvezda. Et vous, qu’en pensez-vous ?


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  • Espagne : un monstre des mers découvert échoué sur la plage

    Une baigneuse a découvert un drôle d’animal échoué sur le sable d’une plage d’Almeria, en Espagne. Ce « monstre » des mers, non identifié, avait des allures de monstre du Loch Ness.

     

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    Mais quelle est donc cette créature découverte ce jeudi 15 août sur une plage espagnole près d’Almeria, en Andalousie ? C’est une baigneuse qui a découvert ce drôle d’animal de quatre mètres de long, échoué sur le sable, alors qu’elle se trouvait sur la plage de Luis Siret. L’animal, qui était dans un état avancé de décomposition, n’a pas pu être identifié, mais a suscité de nombreux commentaires. Ce « monstre » marin aux allures de dragon aquatique, pourrait facilement passer pour le petit frère de Nessie, le célèbre monstre du Loch Ness.

    Le mystère reste entier

    Poisson géant ou espèce mutante, le mystère reste cependant entier. Cette créature des mers n’a pas pu être identifiée. L’Association de défense de la faune marine a examiné les clichés pris de l’animal, et pour elle, il ne s’agirait que d’un gros poisson. La bête a néanmoins été enterrée rapidement par les autorités espagnoles pour limiter les risques sanitaires. Les recherches sur l’identité et l’origine de la créature ont été donc limitées. Les rumeurs, elles, vont toujours bon train


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